exploration ( ouvert)(TERMINÉ)

Ike stationna sa moto avec une grande joie qui ne s'exprimait pas sur son visage. Piloté sa moto lui manquait vraiment. Mais il n'était pas venu pour ce promener. Il a un engagement à respecter.

Entrant dans le batiment avec la même assurance que d'habitude, il s'arrêta devant le plan des sortis d'évacuation d'urgence. proche de l'acceuille. La dame de l'acceuille aborda l'agent pensant l'aider mais Ike lui dit qu'il trouvera son chemin.

Ike commença à faire le tour des portes d'urgences.

Les dents serrées, Vénuzia descendit de la voiture et observa le grand bâtiment. Orgétik. Selon son maître, des documents extrêmements importants pour leur Église se trouvait dans leurs sous-sols. La jeune femme avait donc été chargée d'aller jeter un coup d'oeil. Avec une joie presqu'enfantine, la prêtresse se félicita que se soit elle qui aille en reconnaissance et non cette petite chipie de Kendra. Bien fait pour elle! Vénuzia ne la portait pas beaucoup dans son coeur et chaque fois qu'elle pouvait prouver sa plus grande loyauté à Indigo face à Kendra l'enchantait.

Par contre, ce qu'elle détestait également, c'était les tailleurs...

La femme tira encore une fois sur sa jupe qui lui descendait jusqu'aux genoux. Bleue marine, celle-ci allait parfaitement avec son veston de la même couleur et son chemisier noire. De plus, ses cheveux de feu avaient été ramenés en chignon et un fin maquillage éclairait son visage. Vénuzia avait été habillée et maquillée par l'une des Fidèles de son groupe religieux pour cette importante mission, car entrée chez Orgétik vêtue en médiéval... Le plan aurait échoué avant même d'avoir commencé! Elle prit donc une grande inspiration et oublia un instant ses vêtements pour se concentrer. Lorsqu'elle fut prête, elle entra dans le bâtiment.

Les sens à l'affut, la prêtresse vit que la réceptionniste était occupée dans un classeur. Profitant de sa chance, elle bifurqua vers les plans des sorties d'évacuations pour mémoriser un plan de l'endroit. Un homme s'y trouvait déjà. Grand, habillé d'une cape, il contemplait la carte avec sérieux. En le voyant, la femme eut presqu'envie d'aller dire à son Maître que de porter des capes n'était peut-être pas si étrange que ça tout compte fait, mais elle était déjà sur place, alors pourquoi revenir en arrière.

-Excusez-moi, dit-elle en venant se poster à côté d'Ike.

Puis, sans un regard, elle porta son attention sur le plan. Elle mémorisa quelques secondes les détails importants, puis jeta un coup d'oeil vers la réceptionniste. Celle-ci était toujours occupée. Tout à coup, son regard fut attiré par un drôle de mouvement : l'homme à la cape semblait tester les portes d'urgences. Étonnée, Vénuzia ne fit rien, mais lorsqu'il le vit ouvrir une porte qui pouvait lui donner accès au sous-sol, elle s'élança. Rapidemment, elle se faufilla en arrière d'Ike avant que la porte ne se referme. En espérant que personne ne l'avait remarqué, Vénuzia longea le premier couloir dans lequel elle se trouvait.

Soudainement, elle tomba sur une nouvelle porte qui donnait accès à des escaliers. Cette porte était malheureusement verrouillée par un système électronique. Qu'allait-elle faire ?

(HJ: Si y'a de quoi que j'ai mal interprété dans ton poste, dis-le et j'éditerai!)

hj( même si l'image est trompeuse, je préfère dire que c'est un lourd manteau. pas besoin d'édité.)

Mëme si il avait autre chose à faire, Ike senti bien qu'on lui tournait autour. Il ne répondit pas à vénuzia devant le plan. Malheureusement pour Ike, l'alarme des portes semblait tous être en marche. Pour ne pas se faire voir magouiller près des portes, Ike s'en éloigna et alla voir la suivante.

En revenant sur ces pas, Ike apperçue, au traver de la vitre sur la porte, une civile tourner le coin au fond du corridor. En lisant les indications au plafond, cela semblait mener au sous-sol des lieux.

Théoriquement, il travail toujours pour Orgétik. Ike était donc intéresser de savoir ce qu'une civile désire faire dans un sous-sol en construction. Avec son passe il ouvrit la porte et traversa le corridor. Sa démarche fini par coincer Vénuzia entre lui et la porte vérouillé.

Ike s'addressa alors à elle avec un tons autoritaire.

< On s'est perdu?...>

Alors que toute sa concentration était portée sur le système de verrouillage, une voix se fit entendre. Vénuzia sursauta et se retourna vivement. L'homme qu'elle avait croisé tantôt se trouvait devant elle, un air autoritaire sur le visage. Il semblait à la fois curieux et contrarié de la voir ici. La prêtresse prit une seconde pour évaluer la situation. Selon elle, son pouvoir arriverait à désactiver le système, ce qui lui permettrait d'emprunter les escaliers. Par contre, elle ne pouvait faire cela devant cet homme et le tuer risquait d'enclencher une course contre la montre qu'elle n'avait pas le temps de remporter. Et cet homme... Pour s'être glissé derrière elle aussi silencieusement, il devait sans doute avoir un moyen d'ouvrir la porte. Donc, soit il avait un pouvoir, soit il avait un passe parce qu'il travaillait ici. Vénuzia opta plus pour la seconde option. Un être évolué à pouvoir qui aurait voulu se faufiller ne l'aurait pas interpellé ainsi. La femme devait donc tenter une ruse.

D'un geste précis et vif, elle ajusta les rebords de son veston et releva la tête. Pourvu d'un sourire mi-gêné mi-coquin, elle s'avança de deux pas vers Ike, s'assurant de bien mettre en valeur ses attributs féminins.

-Excusez-moi! Je travaille ici depuis peu et j'ai oublié mon passe à la maison! dit-elle en riant. Pourriez-vous me prêter le votre, s'il vous plaît ? Le temps que je me rende à mon bureau pour prévenir mon mari. Celui-ci pourrait passer venir me le remettre à l'heure de sa pause.

Et elle décocha un nouveau sourire vers Ike. Même si il travaillait chez Orgétik, Vénuzia espérait qu'il ne connaisse pas déjà tout le monde. Sinon, elle risquait de passer un mauvais quart d'heure... ou lui, dépendemment s'il l'obligeait à devenir agressive.

Vue la réaction, Ike sentait bien qu'il venait de la déranger que sa présence était impromptue.Cela pouvait dire autre chose... il lui donna donc la chance de s'expliquer avec un numéro des plus séduisant.

Un sourire mesquin s'afficha sur le visage de l'agent. Son jeu de fause rousse blonde taint était convainquant.

< Malheureusement, par sécurité il est interdit d'échanger de mot de passe. Mais nous pouvons toutes fois vous créer un mot de passe temporaire à la réception. Même si vous n'être pas encore enrégistré, vous serez libre de voyager dans le batiment toute la journée. D'accord? Ainsi pas besoin d'attendre votre amant>

Ike s'écarta sur le coté et invita Vénuzia à passer devant d'un geste de bras. Avant de franchir la porte pour sortir du corridore, Ike se présente d'une voix plus chaleureuse.

< Je suis l'agent Gawain. Enchanté.>

Vénuzia se força à garder le sourire. Malheureusement, l'adrénaline commençait à lui couler dans les veines et une sueur froide envahit son dos, signe qu'elle était de plus en plus nerveuse. Cet agent, même s'il venait de se présenter d'un air chaleureux, venait de gagner le prix du pire homme sur Terre. Il remettait en cause la mission de la prêtresse et cela l'énervait. Il fallait absolument trouver une solution, un échappatoir quelconque. Sinon, la réceptionniste détruirait toutes ses chances d'atteindre son but.

Alors qu'ils s'approchaient de la porte menant dans le hall, Vénuzia fit volte-face.

-S'il vous plaît, monsieur Gawain! Pourquoi ne pas nous entendre ?! Écoutez. À vrai dire... j'ai peur d'aller demander un nouveau passe à la réceptionniste. Comprenez-moi : je suis nouvelle et si Monsieur Marshall est mis au courant, je risque de perdre mon job! Après seulement quelques jours!

Vénuzia détestait faire pitiée, mais elle n'avait pas trop le choix. Elle se mit donc à se tordre les mains et ajouta un léger tromolo dans sa voix. Elle devait absolument attendrir cet agent...

"Hors-jeu":

hj( pour ce qui est de Jason, je me moque qu'il soit présent sur le site ou non. Ils penvent en faire ce qu'il veulent. et je n'ai pas compris l'autre question.)

Malheureusement, elle n,ai pas entrée dans le jeu de Ike. Il s'éfforcait de le pas le laisser voir mais deux chose ne marchait pas dans son histoire. La première est qu'elle n'aurait pas pu passer la première porte sécurisé du corridor sans passe.( pour ensuite rester coincé à la seconde porte)

Et la dernière faille est qu'il n'y à aucun bureau au sous-sol puisse qu'il est en reconstruction. Facile à savoir pour Ike. C'est lui qui la fait s'éffondrer. Il ne compte pas lui expliquer ce qui à fait défaut à Vénuzia. Mais il commençait à voir claire dans son jeu même si il ignore les motivation.

Ike s'arrêta donc pour faire fasse à l'intruse

< Dans ce cas vous avez trois options.> Dit-il en retirant sa voix et son visage amicale.< Ou vous allez chez-vous chercher votre passe si jamais c'est bien vrai. Ou vous partez d'ici sans compliquation avec la police pour espionnage industriel ou c'est la sorti de force.>

Une personne normal ne serrait pas monté aux barricade si vite, mais la parranoĩa de Ike espliquait ces manières déplésante.

< Alors?>

Hors-Jeu:

L'histoire de Vénuzia venait de s'écrouler aussi vite que le masque de gentillesse d'Ike. Celui-ci n'avait visiblement pas marché dans la seconde partie de l'explication de la prêtresse. Il désirait maintenant emmener de force la dame vers la réceptionniste ou la police. Dans les deux cas, Vénuzia était mal. Très mal. Cela compromettait très fortement sa mission

Raide comme une barre, la femme cessa de pleurnicher. Son regard s'assombrit et sa mâchoire se crispa.

-La sortie de force, hein ? Je vais vous en montrer, moi, ce que c'est de la force...

À cet instant, elle referma ses poings. Ceux-ci se mirent à briller dans une incroyable intensité, mêlant des tons de rouges, de jaunes et de blancs pas très rassurant. La luminosité qui s'en dégageait formait des ombres étranges sur le visage de la prêtresse et Ike pu sentir que la température montait autour de lui.

-Vous allez me suivre sans jouer au trouble-fête et faire tout ce que je vous dit, ordonna Vénuzia en levant légèrement ses deux mains incandescentes. Sinon, tout cela pourrait très mal se finir pour vous. Est-ce clair ?

hj( 2 rp)

Figé par la surprise, Ike tomba dans une situation d'hotage. Évidement, pas de caméra. Il est seul... mais c'est comme à l'habitude. Une chose dommage est que si il aurait été plus vite, Ike n'auraqit eu qu'à dégainé son fidèle Berreta pour inversé les rôles.

D'un autre côté, elle vient de confirmé les soupcons. Et il serais intéressant de savoir ce qu'elle est venue chercher pour prendre de tels mesures. Et au bon moment, neutraliser la rouquine.

D'expérience, Ike sait qu'il ne faut que quelques seconde pour devenir l'homme de pierre. Peu importe ce qui peux sortir de ces mains, Ike espère que la pierre sera assez solide.

Doucement, il leva les mains et poussa les événements pour pouvoir ce retourner et garder la surprise de la peau de roche pour plus tard.

< Où on va?>

Vénuzia eut un sourire victorieux. Son regard illuminé par ses mains montrait également une lueur de satisfaction. Elle contrôlait à nouveau la situation. Elle se trouvait en position de force et son otage ne pouvait plus rien faire, mise à part de lui obéir.

-Avancez, dit-elle d'une voix forte.

Ike tourna les talons et avança dans le couloir sous les ordres de la prêtresse. Celle-ci le ramena devant la porte où il l'avait trouvé. Elle lui ordonna d'ouvrir la porte et ils déscendirent dans les profondeurs d'Orgétik. Le duo se déplaça pendant quelques minutes dans les couloirs des sous-sols. Malheureusement, leur progression était lente et incertaine à cause des nombreux travaux s'y déroulant. De plus, avec les nombreux détours qu'ils avaient dû prendre, Vénuzia n'était plus certaine de savoir où elle devait se rendre.

-Conduit-moi dans le secteur D, dit-elle au bout d'un moment. Je veux me rendre dans la salle d'entreposage.

Il y à déjà un moment qu'Ike est sous forme rocheuse. Il peine à bien entendre les instructions. Décidément, elle ne savait pas où chercher ce qu'elle veut puisse qu'ils ont rodé dans les sous-sol pendant un bon moment. Était plus lourd, Ike fait son possible pour marcher normalement ou ne pas sonner comme une avalanche qui ce heurte au plancher à chaque pas.

Vénuzia fini par laisser un indice. L'entrepot...

< Nous devons retourner au escalier et descendre un étage plus bas. Mais les gens de réception et expédition doivent travailler en ce moment. Nous ne passerons pas inaperçue.>

Il garda cette penser pour lui mais peut-être que l'entrepot aussi à des travail. L'éffondrement peut avoir affecté la structure du batiment jusqu'à l'étage inférieur mais il n'est pas expert du batiment. Cela reste n'éanmoin une crainte.

< Alors6> relança-t-il son oppréseuse.

< Nous devons retourner au escalier et descendre un étage plus bas. Mais les gens de réception et expédition doivent travailler en ce moment. Nous ne passerons pas inaperçue. Alors ?>

Vénuzia soupira d'exapération. Levant les yeux au ciel, elle chercha une solution un peu partout. Sa mission allait de plus en plus mal. Personne ne l'avait averti que des travaux se déroulait chez Orgétik! Toute cette situation commençait à l'agacer. Elle s'était donnée environ une demi-heure pour réaliser sa mission, mais les circonstances faisaient en sorte qu'elle venait de dépasser ce délai d'un bon dix minutes. Elle allait donc devoir improviser la suite des opération. La vision de l'homme de roche devant elle lui donna alors une idée.

-Pas question de passer par là, dit-elle d'une voix forte. Je veux éviter le plus d'employé possible. Je vais donc me servir de toi! Ça m'a prit du temps avant de voir que tu étais devenu un homme de roche, mais on m'avait prévenu que des agents d'Orgétik possédait des pouvoirs. Ça m'a donc à peine surprise. Mais là, je crois que je vais pouvoir en profiter! Allez! Retourne dans le couloir et avance!

Ils rebroussèrent chemin jusqu'à un embranchement que Vénuzia avait repérer quelques minutes plus tôt. Elle dit à Ike de traverser le ruban de sécurité et de s'avancer dans le chantier de construction. Soudainement, elle le fit s'arrêter sur des poutres de soutient. Avec ces mains, elle cassa les talons de ses chaussures, puis regarda Ike avec un regard et un sourire sadique.

-Avec toute cette roche sur toi... tu dois être assez lourd, non ? Mais est-ce assez pour descendre d'un étage ?

Et, sans prévenir, elle projetta deux rayons incadescents sur les poutres sur lesquels l'agent se tenait. Tout allait s'effondrer!

Le plancher se fisurait plus vite que l'oeil pouvait le voir. Mais Ike profita dut fait que les deux mains pointaient dans une autre direction que lui pour dégainer son Bereta de son torse et de lui tirer une balle.

Le sol sous leurs pieds s'éfondra. En début de chute, L'agent eu le temps de tirer une secondes balles, mais perdue. Ike ne put retenir un cri de peur.

Pour sa part, Ike tomba sur le coté en prenant soin d'écraser une étagaire de 3.5 m ainsi que tout son contenu avant de se heurter au plancher. Laissant sur le coup un belle marque, à la fois, au plancher et sur son épaule pétrifier.

Ike hésitait à ce relever maintenant, au millieu de ce qu'il a détruit. Et en plus, il n,avait plus son Bereta en main. Il a dut le perdre dans la chute...

N'ayant pas de sensation, il n'avait pas mal.

-AAAAARRRRGGGGHHHHH!

Vénuzia tomba au sol en se tenant l'épaule droite. Grognant de rage, la femme maudissa l'agent et toute la compagnie. Elle n'avait pas été assez rapide. Il l'avait prit de court. Et là, elle avait mal. Très mal. Donc, elle était en colère. Très en colère. Foudroyant le trou où avait disparu Ike du regard, la prêtresse se releva difficilement. Sa blessure l'élançait et sa vision était légèrement brouillée. Sa respiration était également plus difficile à cause de la douleur. Malgré tout, Vénuzia s'avança sur le bord du trou. La poussière envahissait tout l'espace, dissimulant le corps d'Ike et les débris potentiellement dangereux. La hauteur n'était pas si pire, elle pouvait sauter et rouler pour éviter de se faire mal, mais son épaule ne lui rendait pas la tâche plus facile.

La femme soupira bruyamment. Elle devait à tout coup ressortir d'ici avec les documents qu'on lui avait demandé de ramener. Elle jeta un coup d'eau à son épaule. Trouée et sanguinolente, la blessure semblait assez profonde. D'une main tremblante, elle tâta le trou, mais dû arrêter car le toucher envoyait des signaux de détresses à son cerveau. Vénuzia secoua la tête et essuya les larmes qui lui coulaient sur les joues. Reprenant la contenance qu'elle devait garder devant Ike, la femme s'assit sur le rebord du trou avant de s'y laisser tomber. Son atterissage fut presque parfait : dès qu'elle toucha le sol, Vénuzia se laissa aller sur le côté pour rouler au sol. Malheureusement, la douleur à son épaule explosa, lui arrachant un ultime cri de douleur.

Déboussolée, la prêtresse rempa dans un coin, une horrible envie de vomir sur le bord des lèvres. Au travers de son esprit ténébreux, elle repéra le corps d'Ike. Aussitôt, elle leva sa main gauche et alluma faiblement sa main du mieux qu'elle pu.

-Ne bouge... ne bouge pas! J'ai... Je vais... Je vais me reposer une minute... Pis ensuite on continuera...

Gawain était déjà à genoux avant que la rouquine de ce lance dans le trou. Il s'appercu, malgré l'absence de sensation, que ces bras, ces pieds, bref, le corps complet répondait moin rapidement. Son épaule droit craquait même sous les mouvements. Signes inquiétant, surement qu'un vrai corps n'aurait pas pu se relever.

La rouquine maintenant dans son coin à récupérer, on pouvait lentendre souffrire entre deux soupires.

-Ne bouge... ne bouge pas! J'ai... Je vais... Je vais me reposer une minute... Pis ensuite on continuera...

< Dans ce cas, profite de cette minute pour écouter gamine.>

Gawain ce leva doucement debout. Sans geste brusque.

< Si tu t'obstine comme tu le fait, le meilleur des sénarios cera que tu t'éffondre, inconciente, avant les escaliers du rez-de-chausez. Et tu aura moin de 6 heures avant que le trou ne te vide de ton sang.

Si tu coopère maintenant, je te fait les premiers sons. Certe, tu sera maitrisé et tu aura des questions à répondre. Mais tu vivra un journée de plus.

C'est ton choix gamine.>

Gawain savait qu'elle pourrait tenter autre chose, mais ces éventualité son les plus probables et les plus sûr.

< Dans ce cas, profite de cette minute pour écouter gamine.> dit l'agent de roche en se relevant. < Si tu t'obstine comme tu le fait, le meilleur des sénarios cera que tu t'éffondre, inconciente, avant les escaliers du rez-de-chausez. Et tu aura moin de 6 heures avant que le trou ne te vide de ton sang. Si tu coopère maintenant, je te fait les premiers sons. Certe, tu sera maitrisé et tu aura des questions à répondre. Mais tu vivra un journée de plus. C'est ton choix gamine.>

Même si sa vision était légèrement floue, son ouïe fonctionnait toujours très bien et les paroles de l'homme firent grincer des dents la prétresse d'Indigo. La douleur persistait dans son épaule et elle avait du mal à réfléchir. Malgré tout, elle ne perdait pas de vu son objectif et elle savait que sa mission était plus importante que sa propre vie. Il lui fallait donc réussir cette mission coûte que coûte, peu importe ce que cela impliquait pour elle.

Gémissante, Vénuzia tenta de reprendre une position confortable tout en cherchant autour d'elle une solution à ses problèmes. Malheureusement, rien ne semblait à porté de main pour la secourir. Elle garda donc les dents serrées et se força à réfléchir. Elle n'avait probablement pas assez d'énergie pour exploser ni pour attaquer Ike d'une quelconque manière. De plus, le sang qui coulait risquait de l'envoyer au tapis dans les prochaines minutes. Mais ça, au final, ce n'était pas un si grand problème...

La main gauche de Vénuzia devint d'un rouge incandescent et elle appliqua sa paume contre sa blessure. Aussitôt, la chaleur radioactive de son pouvoir cautérisa sa plaie. Celle-ci lui faisait toujours horriblement mal, mais, au moins, elle avait l'impression d'avoir remporté une victoire sur l'agent.

-Hey hey, dit-elle à l'intention d'Ike. Maintenant, je crois que j'aurai plus que 6 heures avant de me vider de mon sang, sale con!

Ensuite, la prêtresse chercha à se relever, mais elle était titubante et elle fut obligée de se laisser choir contre le mur.

-Je ne m'avouerai jamais vaincu, dit-elle entre deux souffles. Je ne suis pas encore finie! Tu crois pouvoir me vaincre, mais je crois que tu es aussi mal en point que moi, non ?! Je suis plus puissante que toi! cria-t-elle finalement pour le provoquer.

Soudainement, son corps entier s'illumina et une explosion de lumière, dirigée par la main tendue de Vénuzia, jaillit. La prêtresse n'avait pas assez d'énergie pour exploser de façon nécluaire, mais elle pouvait encore canaliser son pouvoir d'une simple façon lumineuse. Ainsi, Ike se retrouva momentannément aveuglé par ce soudain "soleil intérieur", mais lorsqu'il put reprendre contrôle de son sens de la vue, il constata rapidement que Vénuzia se servait de ses dernières forces pour courir dans le couloir...

Le monologue la fesait vraiment passer pour une extrémiste doublé d'une enragée au yeux de Gawain. Décidément, Il n'arrivait pas à déterminer le don de Vénuzia. Il peut détruire des poutres d'acier et guérrire la chaire? À n'y rien comprendre...

Mais Gawain avait eu sa réponse. Elle a fait son choix. Les yeux maintenant apte à voir, il lui fallu un bon moment pour réaliserelle lui échappait. Ell eu le temps de quitter l'entrepot. Gawain voulu la suivre mais le mieux qu'il pouvait faire était de marcher. Il n'arrivait pas à aller plus vite malgré toute la volonté qu'il y m'était.

Gawain fouilla dans sa poche pour trouver son téléphone en miette. Écrasé sous son poid lors de la chute.

< Génial...>

Pas le temps de sortir qu'une voix se fit entendre par le trou du plafond. Un groupe de travailleur son venue voir d'où venait le bruit et la lumière. Les hommes voulaient connaitre la situation mais Gawain insista à leurs emprunter leurs téléphones. L'un deux laissa donc tombé doucement son téléphone et Gawain l'attrapa au volle.

Gawain composa le numéro de la réception d'orgétik afin d'être tranferré à la sécurité.

Vénuzia courait dans le couloir. En fait, elle clotinait plus qu'elle ne courait. Sa blessure à l'épaule, bien que cautérisée, continuait de l'élancer et son énergie diminuait à une vitesse folle. Elle sentait les gouttes de sueur perler sur son front et son souffle était irrégulié. Mais la prêtresse tenait bon. Elle avait une mission et ne repartirait pas sans l'avaoir accompis.

La femme tomba soudainement dans un embranchement. Regardant de droite à gauche, elle vit un petit panneau donnant un plan de l'immeuble. Un rapide coup d'oeil en arrière lui confirma qu'elle avait quelques secondes devant elle pour observer le plan. Vénuzia chercha donc des yeux sa position et l'endroit qu'elle voulait atteindre. Elle y était presque : deux couloirs et s'étaient bon. Sentant la victoire à porté de main, la femme s'élança vers sa droite, un sourire aux lèvres.

Tout alla bien jusqu'au deuxième couloir : en plus des forces qui la quittaient et de ses sens qui se mettaient à faire des siennes, Vénuzia aperçu un groupe d'agents de sécurité au fond du couloir. Ils avaient certainement été appelés par Ike... Grimaçant de rage et d'exaspération, la prêtresse continua tout de même d'avancer. Bien sûr, son entrée dans le couloir se fit remarqué et les trois agents lui intimèrent de s'arrêter. Vénuzia les ignora et alluma sa main droite. Les agents eurent un geste de recul, surpris par cette main lumineuse. La femme en profita pour ouvrir une porte sur sa gauche et s'y faufiller.

Une fois à l'intérieur, Vénuzia se mit à courir du mieux qu'elle pu entre deux énormes classeurs et trouva une malle derrière laquelle elle se cacha. Accroupie et soufflante, Vénuzia tenta de reprendre son souffle et quelques parcelles d'énergie avant de repartir. Elle espérait également que les agents soient trop idiots pour investir l'endroit de façon efficace.

Gawain poursuivait lentement la rouquine. Heureusement, c'était un chemin droit. Impossible de ce tromper avant un embrenchement de 3 voix. À droite ou à gauche... une chance sur 2 de se tromper. Tentant de déduire quel chemin elle avait prit, une évidence le frappa. Il n'y à que deux escalier à cette étage. L'un de l'autre coté de l'entrepôt( d'où il vient) et l'autre au bout à droite. Du moins, c'est ce que disait le plan.

En pièrre, Gawain ne ressent pas la douleur. Cela n'empéchait pas que son corps émétait beaucoup de signaux en plus de répondre parfois mal au demande du cerveau.

Gawain prit donc le chemin de droite puisse qu'il ce disait qu'elle tentait surement de remonté à la surface. Son choix le mena à 3 agents, au centre du corridor, qui fesait roche papier scicco.

< Mais que faites vous!?> lança Gawain

L'un des agents répondit qu'il tirait le chanceux qui allait surveiller la porte pendant que les deux autres allairent fouiller la piece.

< Elle est la dedans?>

Le même agent répondit que c'est ce qu'ils croiyaient.

< Très bien. Vous rentrez tout les trois. Je reste pour gueter la porte.>

La respiration haletante, les yeux fermés, Vénuzia reprenait peu à peu le contrôle sur son corps. Malgré le bourdonnement dans ses oreilles, la brume de son cerveau venait de se dissiper et elle recommençait à pouvoir réfléchir normalement. La femme compta deux bonnes minutes avant d'entendre un bruit en provenance de la porte. Aussitôt, elle se mit à quatre pattes et s'éloigna de sa cachette pour trouver refuge derrière une grande bibliothèque de métal remplie de dossiers et de boîtes diverses. De cette manière, elle pouvait jeter discrètement un coup d'oeil sans pour autant se découvrir. Ainsi, de son point de vu, elle vit que trois hommes venaient d'entrer. Aucun des trois n'était l'agent d'Orgétik capable de devenir de la roche. Bien. Cela améliorait ses chances de réussites.

Discrètement, Vénuzia consulta son téléphone portable. Elle s'était envoyée par messagerie text toutes les informations nécessaires à sa mission. L'une d'elles était le numéro de série de ce qu'elle cherchait. Un bref coup d'oeil aux numéros de la bibliothèque derrière laquelle elle se cachait lui confirma qu'elle devait se diriger plus dans le fond de la pièce. Avec un soupir à demi retenu, la prêtresse arqua le dos et commença à se déplacer.

Compte tenu de la grandeur de la pièce et des nombreuses cachettes possibles, il fut très facile d'éviter les gardiens de sécurité. Vénuzia se rendit donc jusqu'à l'étagère qui la consernait sans problème. Malheureusement, elle tomba sur un vaste espace.

*QUOI ???!!! Mais c'est pas possible ! Il devrait être là!* pensa-t-elle.

Complètement paniquée, Vénuzia chercha sur les étagères, revérifia le numéro de série et fouilla alentours. Malheureusement, elle dû se rendre à l'évidence : ce qu'elle était venue chercher avait été déplacé. Frustrée et paniquée à la simple idée de se qui allait suivre, la femme tenta de reprende son calme et composa un numéro. À la deuxième sonnerie, une voix décrocha.

-C'est moi. Les... Les dossiers ont disparus, annonça-t-elle le plus calmement possible. Je ne sais pas... Oui, l'engin aussi a disparu. Non, il a peut-être simplement été déplacé... D'accord. Oui. Je comprends. Un seul. C'est un agent. Oui, il l'est. D'accord. Entendu.

Vénuzia glissa le téléphone dans sa poche et attendit. Après deux minutes d'attente, les gardiens tombèrent sur elle.

-ON NE BOUGE PLUS! beuglèrent-ils. LES MAINS EN L'AIR!

Vénuzia ne se le fit pas dire deux fois. Elle resta bien sage et coopéra avec les trois agents. Ceux-ci, très fiers de leur coup, s'empressèrent d'aller annoncer la bonne nouvelle à l'agent.

-Monsieur, nous avons la fugitive! dit l'un d'eux en sortant de la salle.

-Félicitation, Monsieur, dit Vénuzia. Vous venez d'obtenir la chance de confronter de puissants avocats qui vous feront couler. Quel est votre nom pour que sache qui est l'homme que je dois mépriser ?

Derrière sa capuche, Gawain laissa sortir une sourire en coin mesquin. Avançcant avec le même sourire s'imaginant exercer son ancient métier. Comme en lui brissant la nuque et la cacher au millieu des débris de l'entrepot de leurs étages. Mais ça, c'est si il veut qu'on trouve la dépouille.

Seulement maintenant il est agent de terrain.

< C'est l'hôpital qui ce moque de la charité... la criminelle va poursuivre l'agent qui a fait son devoir?> finit-il avec son dernier pas à 3 pouces de Vénuzia.

Gawain ce pencha à la hauteur des yeux pour confronter son regard dans le blanc des yeux.

< Agent Ike Gawain. Mais avant de me poursuivre, il serait bien que je vous donne une VRAI raison de m'amener en cour juridique. Allez, laisser moi ce plaisir. Et en plus cela vous rendrai service. Tu n'a qui dire un mot miss lumière. Qu'en dis-tu?> dit-il en s'assurant d'avoir un ton de voix inquiétant.

Malgré la présence de l'agent à l'intérieur de son espace vital, Vénuzia jubilait. L'agent était tombé dans son piège comme un débutant. Son téléphone, toujours allumé dans sa poche, était en train de retransmettre toute la conversation... Elle allait donc pouvoir accomplir sa mission, même si quelques imprévus survenaient.

-Agent Ike Gawain, répéta-t-elle sur un ton hautain. Vous n'avez pas assez de contenu pour m'envoyer en prison. Croyez-moi. La seule chose qui risque de m'arriver, c'est une amende bien salée. Par contre, vous, vous m'avez tiré dessus et la preuve se trouve encore dans mon épaule. Je crois donc avoir plus de chance de gagner, Monsieur.

La prêtresse soutient le regard de l'agent, petit sourire aux lèvres.

-Si vous désirez tant que ça que j'ai une autre raison de vraiment vous poursuivre en justice, relâchez-moi et se sera le deuxième round. Mais cette fois-là, je sais à quoi m'en tenir, Monsieur Roche, car votre mimétisme ne vous servira à rien.

Vénuzia n'était pas très impressionnée les airs inquiétants que se donnait Ike, mais elle savait par contre que ce deuxième round risquait fort probablement de se jouer sans elle. Vénuzia avait échoué une première fois et, ça, Sapphiron risquait de ne pas aimer. Le connaissant, elle savait qu'il préfèrerait envoyer un autre Fidèle pour s'occuper du problème Gawain. Par contre, la prêtresse avait encore des chances d'impressionner Indigo et elle comptait bien s'y accrocher.

Gawain ne se doutait de rien de la magouille qui se passait devant lui.

< Si gentiment invité, comment refuser?> répondit-il en sortant un couteau militaire de son dos.

< Laissez nous messieurs.>

- N'y pensez même pas agent Gawain!
Lança un des gardes en le menaçant d'un flingue.

Voila une position incomfortable. Il semblerait qu'il est seul contre le monde... du moins, nul ne partagait son point de vue. Lui prendre son arme pendant qu'il est par-pare, pour ensuite exécuté Vénizia serait faisable. Mais Gawain ne peut ce permettre de déplaire à l'administration.

< Très bien. Dans ce cas, dite à qui de droit que je veux poursuivre miss lumière pour entrée par infraction et prise d'otage à main armé. Pas besoin de dire que les mains sont magique... >

Gawain recula de quelque pas et se tut. Vue les conditions, il se doutait qu'il pourrait en faire plus.

Les gardes ce regardaient l'air de dire : qu'es-ce qu'on fait maintenant.

< Si gentiment invité, comment refuser?> répondit-il en sortant un couteau militaire de son dos. < Laissez nous messieurs.>

À la vu du couteau, Vénuzia se força à rester neutre, mais, intérieurement, elle se figea. Elle venait de se rendre à l'agent et ce dernier osait maintenant la menacer. Et devant témoins! Mais allait-il vraiment utiliser son arme ou était-ce un moyen de l'intimider. Incertaine, la prétresse préféra ne pas réagir (du moins de réagir le moins possible) en partie pour ne pas le provoquer et aussi pour ne pas montrer de faiblesse. Heureusement pour elle, l'un des gardiens de sécurité intervint et Ike se ravissa.

< Très bien. Dans ce cas, dite à qui de droit que je veux poursuivre miss lumière pour entrée par infraction et prise d'otage à main armé. Pas besoin de dire que les mains sont magique... >

Intérieurement, Vénuzia soupira de soulagement. Elle avait évité un nouveau bain de sang. L'instabilité de l'agent commençait à l'inquiéter et elle espérait presque pouvoir être mise en cellule pour s'éloigner le plus possible de lui.

Les agents de sécurité se regardèrent un instant, légèrement incertain de la procédure à suivre. Puis, l'un d'eux décida de prendre l'initiative et agrippa Vénuzia par le bras. Il guida le petit groupe jusqu'à un bureau de la sécurité. Ce bureau était assez modeste, entouré de bureau de travaille et d'écrans de surveillance. Le gardien menotta Vénuzia a une chaise et appela le chef de la gestion de la sécurité.

-C'est bon, il arrive, dit le gardien. Toi, reste avec elle, nous, sortons.

Le gardien emmena donc Ike et le deuxième gardien à l'extérieur pendant que Vénuzia se faisait surveiller par le dernier agent de sécurité. Attachée les mains dans le dos, la femme ne pouvait rien faire. Elle regarda un instant le gardien qui la surveillait et décida qu'il était temps de se reposer. Donc, la prêtresse ferma les yeux et se laissa aller.

À l'extérieur du bureau, les deux agents de sécurité et Ike virent arriver un homme. Il était grand, bâtit, portait de longs cheveux noirs lustrés vers l'arrière avec du gel et était vêtu d'un complet veston noir.

-Agent Gawain, dit-il en arrivant et en lui serrant la main. Je suis James Gauthier, chef de la gestion de la sécurité. J'ai vu votre dossier, pas besoin de vous présenter. Faîtes juste m'expliquer se qui se passe, s'il vous plaît.

Excorté par deux agents, pour éviter d'autre '' bétise'' imaginait Gawain, Leurs marche furent arrêtés par un grand gayare en costar qui avait de la guerre. Ce ga la fesait naturellement savoir son autorité.

< Le directeur, Miss boss des bécosses ( alexandra), le men in black de la sécurité... y a-t-il une personne qui n'a pas lu mon dossier?> pensa Gawain.

< Monsieurs, à 10:49 ce matin, j'ai remarqué et intercepté, par chance, une civile évolué qui tentait d'infliter les sous étages du batiment. Elle m,a ensuite prit en otage avec son pouvoir. Je l'ai vue détruire des pliliers d'aciers à grand coup de rayon de lumière qui lui sortait des mains. Je l'ai aussi vue refermé une plait ouverte à son épaule. J'ignore le terme de son pouvoir.

Vers 11:34, il y a dix minutes, l'intruse prend la fuite alors que j'ai un peu reprit le contrôle de la situation. J'ai appeller du renfort, qui eux ont capturé l'intruse et nous voilà maintenant.>

Après tout ce temps loin de la menace, son n'état rocheux s'estompait. Contrairement à la douleure qui elle s'éveillait pour être de plus en plus vive. À un point-elle que Gawain s'éfondra par terre, plier de douleur.