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 K-18, l'histoire de Ambre/Ombre

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Ambre

Ambre


Nombre de messages : 103
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Localisation : les rues de la ville
Date d'inscription : 13/08/2010

Feuille de personnage
Affiliation: Citoyen de Munatie
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MessageSujet: K-18, l'histoire de Ambre/Ombre   K-18, l'histoire de Ambre/Ombre Icon_minitimeMar 11 Jan - 7:45

ATTENTION! CETTE HISTOIRE PEUT CONTENIR DES PARTIES QUI SONT FORTEMENT DÉCONSEILLÉES AUX ÂMES SENSIBLES
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Ambre

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MessageSujet: Re: K-18, l'histoire de Ambre/Ombre   K-18, l'histoire de Ambre/Ombre Icon_minitimeMar 11 Jan - 7:46

    Une naissance qui n’aurait jamais du être, une naissance qui n’était pas désirée, mais qui c’est quand même produit. Une naissance qui en a ravi quelques-uns, en a dessus plusieurs et qui créa une nouvelle histoire, l’histoire qui suivra racontera tout ce qui ses neuf mois avant cette naissance et les quelque 12 ans qui suivirent celle-ci.

    Cet hiver avait été très rude et froid, la neige, plus abondante que normale, avait recouvert la cité. Cette même cité qui protégeait la demeure de deux personnes qui ne se connaissaient pas. Peut-être savaient-ils déjà croiser dans la rue, la première ne connaissait même pas l’existence de l’autre personne. Par contre, l’être qui l’épiait, qui l’observait jour et nuit, ne rêvait que d’elle. Une nuit, le rêve devenu réalité pour une personne et le rêve de l’autre tourna au cauchemar.

    Plusieurs heures de cauchemar se suivirent pour cette dame qui se vus enlever cruellement sa vertu une nuit d’hiver plus précisément un 19 janvier. La dame fut rudement secouée, elle n’avait pris aucune protection, elle n’était pas supposée subite ce vice aussi vite, aussi cruellement. L’homme barbare l’avait traumatisé à vie, mais il lui laissa un seul cadeau, un seul et unique, un cadeau que seuls les hommes peuvent laisser, la vie. Oui, en mars, elle dut bien se rendre à l’évidence, elle était enceinte, elle entendait un enfant. Elle accoucha dans le noir. Ayant payé une sage-femme pour gardez le secret. Certains diront qu’elle aurait pu avorter, mais elle n’avait pu se résoudre à laisser ainsi une vie sans aller. Elle avait donc accouché en secret.

    Quelques heures après la naissance de la petite, car c’était bien une fille, elle fut menée seule, sans avoir été nourrie, à un orphelinat. Ce dernier était totalement plein, aucune place n’avait pas déjà été comblée. La femme responsable de l’orphelinat dut se résoudre à appeler l’homme qui était venu lui parler quelque jour avant l’arrivée de cette petite. Le lendemain matin il était là. Sur la route, les feuilles qui étaient tombées se fripèrent et se cassèrent sous le poids de la vanne qui roulait sur cette dernière. Des citrouilles jonchaient le devant de maison, bientôt les petits monstres allaient parcourir les rues. Loin de l’idée des deux hommes qui conduisaient ce van de les laisser un jour s’amuser ainsi, non, les 10 enfants et les 3 bébés qui étaient derrière eu étaient voué a un destin plus funeste, plus dangereux, plus secret. Officiellement, ses enfants n’existaient plus. Il n’était plus rien. Ils étaient tous morts selon les papiers. En fait, moins de deux de ces enfants atteindraient leurs 12 ans et seulement un d’eux arriverait à 18 ans. Bien sûr, ceux qui mourront le plus vites serraient les plus chanceux.

    Ils passèrent près de 10 heures sur la route. Ils étaient menés par ces deux hommes à une basse militaire secrète qui se trouvaient à 100 kilomètres de la moindre présente humaine. De grandes barrières entouraient cet amoncellement de bâtisses qui servaient toutes à des fins que même aujourd’hui personne ne croyait encore possibles. Les bâtisses étaient faites au compte de 7 : la pouponnière, où les nourrissons de 0 à 2 ans étaient élevés, ils apprenaient à marcher et commençaient à obéir, on leur donnait à manger des mélanges ultras protéinés pour qu’ils grandissent et deviennent forts. On leur apprenait aussi à courir, leur développement de leur capacité motrice y était la priorité, le dortoir, où l’on trouvait plusieurs sections, ces sections se rapetisseraient en montant du nombre de sections. Il passait de 3 à 17 les numéros correspondants à l’âge de chaque pensionnaire, plusieurs lits superposer est le luxe des petits pensionnaires qui si couchent chaque soir avec une couverture et un oreiller assez minces, la cafeteria, elle, est composer de près de 10 000 places, séparer en section et dont un bâtiment complet est utiliser dû à la grande cuisine dont on a besoin pour nourrir tout ces pensionnaires, il y a aussi l’infirmerie dans cet établissement, l’école, la ou tous les enfants en haut de 2 ans doivent aller pour apprendre, mais ne croyiez pas que c’est comme le primaire ou le secondaire d’aujourd’hui, cette école est l’équivalent de notre système scolaire de deux ans minimum en un, on y apprend les maths, les langues, au moins 1 différente par année, le gymnase, ou on peut trouver l’équivalent d’un centre sportif avec tous les terriens nécessaire pour faire du sport, y compris un centre de tir, le centre de simulation, on y retrouve toute sorte d’endroits, des mines, des forêts, des villages bondés de personne, enfin tous les endroits que l’on pourrait trouver sur la planète, et en tout dernier le centre du corps, se centre est de loin, celui que les pensionnaires détestent le plus, et aussi est de loin celui qui contait le plus d’homicides par semaine, ce centre peut être comparé à des millions de salles de rééducation et de torture.

    Enfin, c’est dans la pouponnière où la fillette atterrit après les 10 heures passer dans l’automobile qui l’avis conduit loin de tout espoir. Les personnes qui travaillaient là n’avaient aucune pitié pour les pauvres nourrissons et nouveaux nés. La plupart étais de filles âgées de 13 à 16 ans qui avait eu même eues ou attendais un enfant. Il n’avait aucune émotion, puisqu’elles avaient été programmées pour cela. Elles se promenaient à travers les petits berceaux de plastique avec un chariot contenant divers objets : un pot contenant un liquide blanc, une seringue sans aiguille de 30 oz et un linge désinfectant. Les mères ou futures mères prenaient 30 oz de liquide blanc et avec un seule pousser les envoyais dans le ventre des bébés qui se mettaient à pleurer de plus belle du au choc que leur petit ventre avait subi avec cet agrandissement spontané de leur estomac. Ces bébés étaient changés 3 fois par jour, juste assez pour ne pas dire qu’ils étaient sales. Ces bambins étaient vite encouragés à marcher. Et à 6 mois ils devaient commencer à marcher. Il apprenait à parler et à utiliser leur main convenablement. À cette étape peu mourrait encore, c’était même les meilleures années de leur enfance.

    Je vous épargnerais la vie de ces bambins, car elle se résumait à une discipline ferme, de la nourriture, un entrainement spécialement conçu pour développer au maximum ces enfants qui étaient considérés comme de simple objet.

    Les deux ans se passèrent assez bien. Ambre grandi vite grâce au mélange protéiné et aux aliments spéciaux donnés à la pouponnière. Elle fut transférée vite dans le dortoir. Là-bas, elle fut vite classifiée comme turbulente et envoyée au centre de corps au moins 3 fois semaines. L’orpheline fut torturée de toute sorte de façon qu’il fut imaginable, à moitié noyer, fouetter, mutiler, assoiffer, affamer, enfermer, violer, elle ne fut jamais en paix dans cette basse. Personne ne fut impressionné quand, à l’âge de 4 ans, elle arrêta de crier, Ombre était créée, son rolle, défendre et protéger Ambre. Bien sûr, ces traitements étaient pour la casser, cela marcha à merveille après qu’ils l’aient forcé à tuer par deux fois les amies qu’elle s’était faites.

    C’était un froid mardi de décembre, comme toujours, la neige recouvrait le court et les enfants qui s’étaient fait voler leur âme et qui nourrissaient leur plaisir avec des actions mal saines, se rassemblaient devant les deux fillettes de 5 ans qui se tenaient par la main terroriser. Les gardes arrière avec deux armes en donnèrent une à chaque fillette. Ils les mirent face à face et chacun des hommes pointèrent une arme sur leur temple.

    - Entretuez-vous, c’elle qui tue en premier sera sauf, si vous ne faites rien, vous mourez… tous les deux.

    La première commença à pleurer, mais Ambre n’était plus, Ombre parue. Elle devait protéger son enveloppe charnelle a tout pris, de plus Ambre avait été consciente seulement quand elle tenait la main de son amie, ainsi donc Ambre avait vu les armes, elle avait vu ladite amie en pleure, mais le pire était arrivé, ils avaient donné un ordre, sa vie ne dépendait. Sans états d’âme, Ombre chargea l’arme et tira trois coups, un à la poitrine, un à la tête et un dernier dans une jambe. L’arme était très lourde, une rupture se fi en la fillette, c’était son premier meurtre en voyant l’être mourir devant ses yeux, qui plus est, la fillette était de son age. Ombre en devient encore plus à avoir peur de se qui se passais près d’elle, les tortures qu’elle devait endurer à cause de la désobéissance d’Ambre ne l’aida pas. Elle se retrouvait souvent a l’infirmerie pour recevoir des soins, encore aujourd’hui, des cicatrices de ces soins primitifs son encore visible sur son corps, qu’elle cache sous ses vêtements.

    Ombre fut envoyée au dortoir après le meurtre de son « amie ». Elle y dormit tout le reste de la journée. Les lendemains elle commença à l’entrainement des meurtres, cet entrainement brisa encore plus la raison d’Ombre.

    Un jour, Ambre fut encore plus énervant que d’habitude. Elle fut emmenée dans les salles de rééducation. Elle était enfermée dans sa cellule, attachée au mur par des chaines de métal résistantes. Cette technique qui peu paraitre moyenâgeuse ne servait qu’à l’épuiser, le temps qu’elle se débatte. Il lui fallait une demi-heure à essayer en tirant sur les chaines en essayent des brisés vainement pour qu’elle se rendre conte que tout se manège étais inutile. Ambre se calma enfin et regarda la pièce, il lui était totalement superflu de continuer ainsi à dépenser de l’énergie, par compte, elle devait absolument rester debout, les chaines n’étant pas assez longues pour plus permettre de s’assoir. Après plusieurs heures à être debout, Ambre commença à se fatiguer et se laissa pendre. Elle avait faim, ne savait pas depuis combien de temps elle était la, elle avait d’autans plus soif du à la chaleur qui renait dans les cachots de cette monstrueuse place.

    Des heures passèrent ou elle était pendu par les poignait sur le mur et tête baissée se reposant, cherchant désespérément à comprendre ce qui arrivait, il était impossible que se soit la vraie vie, les manuelles scolaires parlaient de place merveilleuse, de créature étrange dont elle ne connaissait pas les noms, la plus par marchaient à quatre pattes et semblaient gentil. Ambre ne savait pas lire donc elle ne pouvait pas lire le nom des créatures qui y étais inscrit. Elle cherchait par contre a décodé, sans grand suçais. Le plancher commença peu à peu à s’humecter des larmes de la fillette. Ces sanglots résonnaient contre la pierre comme si rien ni personne n’étais à des lieux à la ronde, aucun bruit, aucune lumière ne pénétrait dans les cellules. Rien. Il y avait bien une lumière au plafond, mais on ne pouvait l’allumer que si on possédait un passe spéciale.

    Ni Ambre, ni Ombre ne purent dire après combien de temps, mais un homme vient les chercher. Il était brusque et ça sentait les ennuis. Malgré les protestations et les insultes répéter de la jeune fille, il ne dit rien, ne fi rien à par la trainer par les cheveux quand celle-ci décida de s’asseoir à terre, car elle ne voulait plus avancer. Elle fut assise sur une chaise et une grande lumière lui plomba dans les yeux. Elle voulut les fermer, mais il était impossible pour cette dernière de le faire. Un autre homme le maintenait avec les yeux ouverts. Elle cria ses yeux lui fessait mal, tout comme son cuire chevelu durement éprouver par cette traversé des couloirs. Cette lumière était de trop après avoir passé des heures dans le noir.

    Sur une étable en face d’elle il y avisa des couteaux, un fouet, des objets qu’elle ne connait pas le nom et même un repas frais avec un grand seau d’eau. Ambre voulait cette eau et cette nourriture. Elle avait terriblement faim et soif. Elle ne pensait ni aux couteaux qui allaient probablement lacérer sa chair ni au fouet qui allait lui déchirer la chair de son dos, la seule et unique pensée qu’elle avait c’est celle de cette nourriture et de cette eau qui se trouvaient à peine quelques minuscules mètres d’elle, é peine deux mètres, vous imaginerez la torture?

    Les deux hommes rirent quand elle commença à quémander la nourriture, mais surtout l’eau. Ils la regardèrent droit dans les yeux et lui dire en pleine face ce qu’ils pensaient lui faire. Bien sûr le vissage ne devait être toucher, la défigurer serait dommage, étant donné que les gens la reconnaitraient plus facilement.

    L’homme qui était venu dans la cellule la chercher empoigna un couteau et sourit. Il déchira la frêle chemise qui recouvrait la poitrine encore inexistante de la fillette et lui enleva. Au moment ou il commença à enfoncer la lame du couteau dans le corps de la jeune fille, les yeux changèrent passent de vairon à turquoise. Ces yeux turquoise que les geôliers connaissaient très bien, ils sourirent. Il avait déjà réussi à faire crier ces yeux. Mais encore une fois il fallait réussir. Les yeux de l’homme ne devinrent que plus haineux et sadiques. Ils pensaient que ça serrait une grande joie de la faire crier de nouveau. L’homme enfonça le couteau dans la chair. Les muscles du vissage bougèrent un peu, mais rien encore. Ombre se concentrait pour ne rien ressentir ne rien penser. Il fallait être forte.

    La lame s’enfonça encore plus profondément. En somme, question torture, le sujet ombre était très efficace, mais son attitude par moment était totalement inapproprié, d’où les multiples cicatrices sur son corps. Une Nouvelle commençait à se former d’ailleurs. Le couteau continuait dans sa lancer. L’homme, parfaitement instruit, savait quand arrêter où passer et quoi faire pour ne pas blesser trop sérieusement. Il savait où aller pour qu’après cicatrisation la patiente ou le patient, dépendamment des cas, ne souffre pas ou du moins n’ait aucun handicap.

    Il lui dessina avec ironie un bonhomme sourire sur le ventre ou le nombril servait de nez. La peau fendue fut ensuite recousue à froid. Il ne fallait pas que la peau lâche et déverse les organes sur le sol, naisse pas?

    Puis l’homme qui avait tenu les yeux d’Ombre ouverts pris un des objets qui étaient sur la table et commença avec un petit pinceau à lui étendre une sorte de liquide qui était très froid au premier contact, mais qui commença à lui bruler la peau après peu. Les marques étaient très précises et il continua ainsi durant un moment. Puis les hommes eurent soif. Ils burent l’eau du seau. Qu'est-ce qu’Ombre n’aurait pas fait pour en avoir un peu? Son enveloppe charnelle en avait vraiment besoin. Elle leur demanda avec les mots que les hommes aiment si bien entendre avec une demande. Les hommes rirent encore. Ils la regardèrent et approchèrent. Ils lui demandèrent si elle avait très soif. Elle lui répondit que oui. Les bourreaux se regardèrent et sourirent. Un dézippa sa bringuette et dit à Ombre d’ouvrir la bouche. Elle le fit innocemment, ne comprenant pas ce qui allait se produire. Puis, l’homme urina, il envoya son liquide dans le font de la gorge de la petite. Elle n’eut d’autre choie que d’accepter ce cadeau qui malgré le gout plus que répugnant et l’humiliation qu’elle vivait en devenait un cadeau de vie qui empêcherait son corps de trop se déshydrater. Bien que l’on dit humiliation, pour ombre ce mot ne signifie rien. Elle n’a pas de fierté pour la survie de son corps. Elle n’a pas de ligne de conduite, à par préserver son enveloppe charnelle. Vous dites surement que se laisser ainsi torturer n’était pas dans l’intérêt de son corps, mais ne pas faire cela, elle finirait bien par se faire encore plus souffrir. La séance continua avec un bain glacé et toutes les positions douloureuses ou vos geôliers vous laissent pour vous faire des courbatures.

    Ambre fut libérée une semaine plus tard et envoyer a l’infirmerie pour traiter le manque de nourriture et sa déshydratation. Durant le temps qui lui fut accordé dans la paix de l’infirmerie, elle put commencer à se rendre vraiment conte que ce monde n’était peut-être pas fait pour elle. Ambre commença a vraiment observé ce qui l’entourerait. Elle vit pour la première fois un vrai papillon et c’est là qu’elle décida de partir. Ça fut très périlleux comme de par, encore jamais personne n’avait réussi a partir ainsi de cette place. Elle économisa c’est ration pendent des semaines et quand le grand jour arriva, c’est à ce moment quelle découvrit son pouvoir. Sur l’adrénaline, et du a la premier fois, ou le pouvoir est le plus pure et le plus fort, elle réussit a s’enfuir. Elle réussit à partir de cet endroit merdique. Elle courut durant des heures, son entrainement aillent renforcé c’est jambes et c’est son tempérament poudre pouvoir le faire, enfaite Ombre le fit, car Ambre aurait vite abandonner dans le froid du territoire Nunavut, ou la neige est a perte de vus.

    Il lui fut près d’une semaine pour arrivé dans un petit village ou elle chaparda vêtement et nourriture avant de mettre encore plus de distance entre elle et cet endroit infernal. Elle arriva a plusieurs villes ni restant pas trop long temps. Elle faillit plusieurs fois se faire prendre par la police, mais la vitesse et l’ingéniosité d’Ombre finissaient toujours par gagner. En grandissent son corps commença a maigrir et grandir de moins en moins vite. Il faut dire que de nos jours avec toute la technologie de surveillance, peu de magasins ne pouvaient la voir voler et l’attraper. La faim se fit vite sentir, mais cette sensation de libérer étais trop plaisante pour que la laisser ainsi filer entre les mains de gens qu’elle ne connaissais pas.

    Un jour, elle eut le malheur de faire confiance à une personne qui semblait bien sympathique. Elle avait alors l’âge de 9 ans. Elle vais faim et froids, c’était l’hiver, mais un grand hiver. L’homme l’accueillit cher lui, mais pas pour les bonnes raisons. Il était un homme peut recommandable sur tout pour les enfants., malgré que sa vertu lui aille Degas été enlever, elle était encore une fois prise par ces créatures ville qui prenait les enfants impubères pour des objets de désir. Il était un médecin casser réputer dans cette ville. Mais malgré tout les précautions que l’homme prit pour garder prisonnière la fillette, Ambre réussi à se délivrer. Elle partit. Et elle atteint alors la grande ville de Munatie. Elle put donc vivre en paix dure 4 ans. C’est la seule ville où elle se sent bien ou elle n’a pas encore eu de problème majeur, certes elle s’est déjà fait tabasser pour avoir volé, mais elle a survécu, et encore aujourd’hui elle vadrouille dans les rues et continue a survivre. J’aurai bien marque en espérance de la vie meilleure, mais cette vie est bien un paradis pour c’elle qui n’a pas eu ni famille ni même d’amour de toute sa vie. Elle n’a rien eu. Cette nouvelle liberté même si elle se fait à la dure est beaucoup moins souffrante que la précédente. Désormais, que vous connaissez la vie de la fillette qui se cache dans la ville n’oublier jamais qu’elle aura tendance à vous entourlouper et à vous voler pour de la nourriture, n’oublier pas que malgré c’est aire de petites filles modèles dans des vêtements à demi déchirent et dont l’age tournerait près de 9 ans, n’oublier pas qu’elle est une jeune fille en en devenir et qu’elle a des ressources que personne ne peut imaginer, mais le plus impotent, penser qu’Ombre à déjà tuer et elle recommencera pour sa vie et qu’Ambre est une petite fille énerver qui ne cherche qu’à dépenser cette énergie qui la mi si souvent dans des problèmes.
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