Rien n'est plus simple que la destruction (TERMINÉ)

La destruction. Elle est souvent présente. Le déluge devait tout détruire pour tout recommencer. Les colonisateurs disaient qu'il fallait tout détruire pour anéantir les races inférieurs et imposés la suprématie des races supérieurs.
Est-ce que c'est ce que je m'apprête à faire ? Je vais détruire quelque chose pour que les gens comme moi puisse recommencer une nouvelle vie plus... paisible. Que serais-je si Keys ou Orgétik n'avait pas interféré dans ma vie ? Mes pouvoirs ne se seraient surement pas développé aussi vite. Mais ils se seraient surement développé quand même. Et j'aurais surement eu tout le temps de les maitriser. Alors que là, je devais tout faire très rapidement. Je ne pouvais pas me permettre de baisser la tête et d'attendre. Pas pour le moment en tout cas.
Car dans l'heure qui suivra, Orgétik ne sera plus rien.

Je ne pouvais pas faire effondrer le bâtiment et encore moins l'aspirer dans un trou noir. Surement dans un futur plus ou moins éloigné, je le pourrais. Mais pour l'instant, je devrais procéder étape par étape, étage par étage.

Je respirai profondément et entamai ma marche. J'étais sur le parking et je me dirigeai à grand pas vers le hall d'entrée.
Il n'y avait quasiment personne à cette heure là. C'est d'ailleurs pour cela que j'avais choisi cette heure-ci. Au moins, aucun innocent ne serait blessé.
La porte s'ouvrit toute seule.

Trois personnes en tout dans le hall d'entrée. La réceptionniste, un client et le garde de l'entrée.
J'avais gardé ma capuche, ce qui alerta le garde qui croyait surement à un jeune voleur.
-Hé toi ! Enlève ta capuche s'il te plait !
Et bien c'est partit !

D'un geste de la main, j'appliquai une force répulsive sur le garde qui se retrouva alors projeté contre la porte de l'ascenseur qui s'ouvrit sous le choc.
Le client et la réceptionniste, choqué par cette attaque, commencèrent à s'enfuir en prenant la direction de l'escalier. Mais avant même qu'ils n'aient parcouru dix mètres, ils commencèrent faiblir. La gravité changea et ils se retrouvèrent tous projeté, meubles y compris, contre la porte d'entrée de laquelle je m'étais éloigné.
Le bureau s'arracha au sol, les plantes qui étaient parsemées aux quatre coins de la pièce s'envolèrent, de même que les chaises et les quelques tables. Tous cela se retrouva plaqué contre la porte d'entrée qui se retrouva clôturé. Plus personne ne pouvait ni entrer ni sortir.

Avant de me diriger vers les étages supérieurs, je descendis au sous-sol. J'avais toujours les plans en tête. Et je savais que le disjoncteur se trouvait... juste là.
Je l'ouvris en arrachant le cadenas grâce à mon pouvoir. Et pour faire bonne mesure, j'arrachai aussi le disjoncteur. Tout l'immeuble se retrouva alors plongé dans le noir complet. Seul la demi-lune éclairait difficilement à travers les vitres.
Mais je m'en fichai, je sortis mes lunettes et me mit en mode vision nocturne. Tout apparu alors dans un vert fluo. Je voyais comme en plein jour.

Je me dirigeai alors vers l'étage supérieur, là où je pourrais détruire encore plus...

Je tremblai de froid. Ou peut-être de trouille. Bon, c'est vrai, j'avais peur. Peur que la confrontation que je voulais avoir avec le directeur ne soit pas la bonne et qu'elle me porte préjudice. Mais il le fallait ! Je n'avais pas envie de vivre dans la peur que mes pouvoirs soient révélé au grand jour.

Un vent de courage m'envahit et me décida à avancer. J'entrai sans regarder nul part, je fixai l'ascenseur que je pris, la boule au ventre. J'avais l'impression que la montée était interminable. Pourquoi moi ? Pourquoi devais-je être confronté à ça ? Je n'étais qu'un jeune homme. Je sortais à peine de l'adolescence. Oh et puis qu'est-ce qui m'avait prit de vouloir aller dans cette ville ? Pourquoi je n'étais pas resté en France ?
Mais bon... je n'avais plus le choix. Il fallait que je règle ça.

J'avançai lentement. Chaque pas semblait résonner bruyamment à mes oreilles bien que le couloir qui menait au bureau de Julien Marshall était tapissé.
Je respirai en m'arrêtant devant la porte. Le poing levé, m'apprêtant à frapper à la porte, j'avançai la main pour sceller mon destin.
Je savais exactement ce que je voudrai dire au directeur. Ou plutôt, je me le répétai. Je m'étais déjà fait un scénario dans ma tête.
'' -J'ai retrouvé les gens que vous vouliez mais quelqu'un est mort. Et je n'ai pas envie d'avoir une vie comme ça ! Au contraire, moi je voulais juste être publiciste. Mais puisque vous savez que j'ai un pouvoir, alors je veux que vous sachiez que si jamais vous tentez ne serait-ce qu'une chose contre moi, le monde entier connaitra vos petites magouilles !!!! ''
Oui, c'est ce que je voulais dire à Julien Marshall lorsque je me retrouverai face à lui. Mais plus facile à dire qu'à faire comme raconte le dicton.

Mais alors que je m'apprêtai à frapper à la porte, je sentis l'immeuble se secouer. Comme si quelque chose ou... quelqu'un ? Venait de le frapper fortement.
Mais que se passait-il encore ?

Julien travaillait sur la présentation d'un nouveau projet qui devait être approuvé ou refusé lors de la réunion du lendemain. Cet homme travaillant avait l'habitude de rester tard le soir pour paufiner les derniers détails de ces dossiers. Il n'avait pas de famille qui l'attendait à la maison alors il pouvait rester concentré autant qu'il le voulait. C'est donc dans le calme que commençait sa longue soirée de travaille... jusqu'à ce que les lumières se ferment brusquement!

-Mais qu'est-ce que... ???

Tout à coup, il eut l'impression qu'une secousse frappait Orgétik. Était-ce un tremblement de terre? Non. Pas ici. À moins que... Incertain, Julien fouilla dans son bureau pour s'armer d'un Berreta et d'un taser-gun. Puis, il se leva de son bureau au même moment que les lumières de secours ne s'allument. Il devait se rendre au bureau de la sécurité vérifier que tout allait bien. En ouvrant la porte, il tomba néanmoisn nez à nez avec Aaron.

-Mais que faîtes-vous ici, vous? demanda-t-il, surpris.

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(HJ: Faut pas que ça soit trop facile ^^)

Kevin se déplaçait dans les couloirs, mais il n'était pas le seul. Alors qu'il cherchait le meilleur endroit pour faire le plus de dégâts possible, un agent d'Orgétik l'apperçu au bout du couloir. Aussitôt qu'il vit cet inconnu portant des lunettes de visions nocturnes, il su que c'était un ennemi. Sans attendre, il leva donc la main. Un éclair bleu fut alors projeté contre Kevin.

-Qui es-tu et que viens-tu faire ici? rugit l'agent en s'avançant, les mains chargées d'électricité.

Il fallait que je trouve le pillier principal qui soutenait tout le bâtiment. Si j'arrivais à le graviter suffisament, ce ne serait pas seulement les objets autour qui serait attiré mais tout bâtiment. Ca ferait alors une destruction plus que superbe puisque tout serait alors écrasé.

Mais il fallait que je le trouve, et ça, ce n'était pas une mince affaire. Si au moins j'avais les plans d'architecture de cet immeuble, mais cela m'étonnerait grandement que le directeur me les donne sans faire d'histoire. Enfin bref.... tant pis, on va en revenir à la bonne vielle méthode.

Je me concentrai pour faire bouger une porte en la gravitant au centre d'elle même de sorte qu'elle s'écrase. Mais alors que j'étais sur le point de tout balancer, une éclair bleu me frappa à la poitrine, me projetant à quelques mètres en me faisant dresser les poils et les cheveux.
-Qui es-tu et que viens-tu faire ici ? rugit celui qui venait de m'attaquer.
Un agent surement. On pouvait pas me laisser tranquille ?
-Bon écoute, j'ai pas envie de jouer, alors fous moi la paix !

Je me retournai pour lui faire dos, mais j'étais toujours au aguet. J'écoutai chaque bruit, chaque mouvement... chaque crépitement qui venait de m'indiquer qu'une autre attaque éléctrique venait d'être lancé. J'inversa alors la gravité pour me retrouver au plafond. Mais je n'étais pas collé, non, au contraire, je pouvais bouger librement, comme si je n'avais rien changé, j'avais juste... la tête en bas.
L'éléctricité passa juste en dessous de moi et s'écrasa contre la porte. Je décidai d'en finir avec cet agent. Tant pis pour lui, il n'avait pas qu'à me faire chier.

Je courus alors vers lui, toujours la tête en bas. Ce bênet n'arrivait pas à reprendre ses esprits. J'avoue que ce petit changement en bouleversait plus d'un. Mais moi j'y arrivais. Oh et puis après tout ! On dit que c'est la loi du plus fort.
Je m'élançai alors vers lui, pied en avant, et avant que je ne le touche, j'appliquai deux forces attractive sur mon pied et son visage.
Je le frappai alors avec tellement de puissance que le coup resonna dans tous le couloir. J'annulai mon pouvoir et retombai à terre. L'agent aussi retomba, mais ne se releva pas.

Je repris alors mon écrasement de porte que je fis en deux temps trois mouvements. Je me retrouvai face à une armée de bureau. Je me demandai bien ce qu'on pouvait y faire. Des ordinateurs, des chaises, des tables, des crayons... tous cela devait couter cher...
D'un geste de la main, tous se retrouva projeté à une telle vitesse contre le mur que j'aurais était etonné de voir ne serait-ce qu'un crayon en bon état.

Je décidai alors de sortir pour une autre destruction... pour l'instant, tout se passait bien...

Le bruit semblait venir d'en bas, mais je l'avais sentit dans tous mon corps comme si c'était quelqu'un qui était à côté de moi qui venait de le faire... mais non, ce n'était pas possible. Un simple humain n'aurait pas la force de faire ça... enfin j'espérai.

Cet étrange évènement avait mis entre parenthèse ma motivation pour frapper au bureau de Julien Marshall. Et j'étais sur le point de faire demi-tour et de repartir lorsque la porte s'ouvrit à la volée et que je me retrouvai nez à nez avec mon patron.
-Mais que faîtes-vous ici, vous ? me demanda-t-il, surement supris de me voir dans ce batiment à une telle heure.
Je déglutis et prit une profonde inspiration. C'était ma chance et je ne voulais pas la manquer.
-Je... ce que vous faites est vraiment horrible. De quel droit vous me faite du chantage pour ne pas divulguer mes pouvoirs. Oui c'est vrai, je peux faire apparaitre des champs de force...
J'en fis apparaitre trois. Un derrière moi et les deux autres de chaque côté de Julien Marshall. Mes mains étaient empruntes d'une aura violette si forte qu'elles auraient surement pu perçer facilement l'obscurité qui s'était installé avant que les lumières de secours, moins forte que leurs homologues originals, ne se mettent en marche.
-... et s'il faut que je vive dans la peur que mes pouvoirs soient divulgué, alors je préfère vous dire tout de suite que si jamais il l'était, vous aurez affaire à moi. Et en plus je dirais à tous les médias vos petites magouilles !!!

J'avais pris un air menaçant à chacune de mes paroles. De plus, mes champs de force qui avaient grandit au fur et à mesure de mon discours nous englobaient totalement à présent. Nous étions, Julien Marshall et moi, prit dans un sphère de mon pouvoir. Et je ne comptais pas la rompre avant même qu'il ne me donne satisfaction.
Mais c'est alors que je vis un pistolet et un taser... que faisait-il avec cela ? Mon estomac se contracta et je reculai sous l'effet de la peur à une distance de trois mètres pour me permettre de faire apparaitre un bouclier entre nous au cas où la force des choses le demanderait...

Julien affichait un air totalement désemparé. Il cherchait à se souvenir qui était l'homme devant lui. Il se souvenait de l'avoir croisé en début de semaine et, s'il ne se trompait pas, il lui avait offert sa carte. Cherchant encore dans ses souvenirs, M. Marshall se souvint alors qu'il avait vu sa photo dans les dossiers des nouveaux employés qu'il avait vaguement feuilleté. Mais rien n'expliquait pourquoi il était ici!

-Je... ce que vous faites est vraiment horrible. De quel droit vous me faite du chantage pour ne pas divulguer mes pouvoirs. Oui c'est vrai, je peux faire apparaitre des champs de force...

Et il démontra ses dires en créant des créant des murs psychiques autour du directeur de la compagnie. Celui-ci eut un bref moment de recul et serra les dents face à ce phénomène.

-... et s'il faut que je vive dans la peur que mes pouvoirs soient divulgué, alors je préfère vous dire tout de suite que si jamais il l'était, vous aurez affaire à moi. Et en plus je dirais à tous les médias vos petites magouilles !!! continua son employé d'un air menaçant.

Julien le regarda ébahit. Mais de quoi parlait-il? L'homme d'affaire n'était au courant de rien, mais il voyait bien que l'émotion gagnait Aaron, car les boucliers changèrent de forme pour englober entièrement les deux interlocuteurs. Puis, le publiciste recula pour prendre de la distance entre lui et Marshall. Il avait peur, ça se sentait à pleins nez. De plus, l'histoire qu'il contait semblait provenir d'une profonde paranoïa. Peut-être avait-il subit de la persécution dans le passé et ces souvenirs refaisaient surface en ce temps de crise. Mais peu importait sur la raison. L'important, c'était de lui faire comprendre qu'il se trompait.

-Monsieur, pardonnez-moi, mais je ne vois pas de quel chantage vous voulez parler! Tous nos employés possédant des dons particuliers sont traîtés avec respect. Orgétik est là pour aider les gens comme vous, pas pour vous nuire! Nous savons très bien que le monde extérieure n'est pas encore prêt pour de tel révélation...

Julien fit une pause pour s'humecter les lèvres. Il n'était pas d'humeur très patiente et il savait sa compagnie en danger. Par contre, il comprennait très bien que ce jeune homme risquait d'agraver les choses si la situation n'était pas tirée au clair. Un employé insatisfait faisait toujours des ravages. Le directeur chercha donc à voir où l'erreur avait pu être commise. Pourtant, à son souvenir, Aaron n'était pas un agent de terrain, mais bien un publiciste! Alors comment avait-il pu être mit au courant des services secrets de l'agence? Cela devait être un coup de Keys...

-Monsieur, écouter bien : en milieu de semaine, j'ai été kidnappé et un Changeur de forme à prit mon apparence! Il se baladait dans les couloirs de MON entreprise sous MON apparence. C'est sans aucun doute cet usurpateur qui vous à fait chanter, car jamais Orgétik ne vous aurait mit dans une telle position. Croyez-moi : il n'y a aucune petite magouille dans cet établissement...

-Que... quoi ? bredouillai-je. Attendez, c'est justement dans cette semaine que vous m'avez ordonné d'aller retrouver des gens qui avaient disparus. Vous aviez même donné une réunion à tous les gens qui avaient des pouvoirs pour leur dire que vous alliez attaquer une organisation ennemie. Je ne me souviens plus de son nom mais tous le monde avait l'air emballé.

Je m'arretai quelque instant en faisant disparaitre mes boucliers. Je m'étais trompé ! Ou plutôt on m'avait trompé ! Ce Julien Marshall était quelqu'un d'honnete au final. Il... il ne voulait pas me nuire. Au contraire...
-Donc... si votre organisation ennemie vous en veut... et qu'elle a des gens qui ont des pouvoirs... cela veut dire que cette secousse n'a rien de normal ? Donc... nous sommes attaqué ? compris-je.

[HRP] un peu court, désolé ^^ [HRP]

Ike arriva dans le parking de la compagnie, cheveauchant sa monture d'acier. En retirant son casque, il se possa des questions. À savoir pourquoi il n'y avait pas de lumière dans les fenètres? Sécurisant sa moto, il avança vers le batiment.

< l'entreprise ferme plus tôt se soir?>

À son entré, les dégat ne passa pas inaperçue. Encore une fois, le batiment était attaqué mais de front cette fois. Ike sorti de son étui son fidèle Berreta et commença l'exploration. Cela fut bref puisse qu'il présenti une énorme vibration dans le sol et les murs qui provenait du haut. Si fort qu'il put localiser l'étage précis.

Sans attendre, Ike déferlait les escaliers après avoir vue que les accenseurs ne marchaient pas. Maintenant sur l'étage en question, il était ésouflé mais l'urgence le forcait à continuer. Il avancait prudament dans les divers corridors. À l'affue et survanllant les vibration du sol.

J'éjectai la seconde porte de la nouvelle pièce que je venais de massacrer. Une dizaine de bibliothèque, contenant surement des dossiers importants, réduite en bouillis par la seule force de mon esprit. J'adorais maitriser la gravité !
Les lumières s'étaient rallumés il y a maintenant plus de dix minutes et cela m'énervait. Certes au moins je n'avais plus besoin de mes lunettes à vision nocturne... mais c'était embêtant quand même car les autres aussi n'en avaient pas besoin. Ce qui voulait dire qu'ils pouvaient me voir facilement, voir... me reconnaitre... Mais qu'importe. De toute façon, quiconque est dans cet immeuble n'aura plus de vie demain. Mis à part moi évidemment.

Enfin bref, l'heure n'était plus à réflechir et à penser mais plutôt... à détruire ! J'avais presque envie de faire une rire diabolique. Mais... qui est le plus diabolique ? Une organisation qui veut à tout prix contrôler les gens ayant des pouvoirs ou moi ? Un simple adolescent qui veut défendre sa liberté. Au final je crois que c'est eux. D'où ma présence ici et ma volonté de détruire !

Sur ce, j'envoyai une imprimante qui était dans la pièce à l'autre bout, juste à côté d'un escalier. Le silence revint et j'entendis... des pas !
Même sur la moquette j'entendais des pas. Je savais qu'il y avait quelqu'un. Une personne ! On voulait jouer ? L'agent n'avait pas comblé mes attentes.
Bien... alors Go !

J'activai mon pouvoir et tout les objets de l'étage se mirent à flotter dans les airs. Il n'y avait plus rien qui tenait au sol. J'avais annhilé la gravité. Je me déplaçai alors en flottant avec la grace d'un cygne.

Ike rodait dans les corridors en silence, suivant les vibrations du sol qu'il avait fini par déceler quand il apperçue une imprimante défoncer le mur du fond et ce diriger vers lui à vive allure. Ike se lança par terre et s'y allongea sous le réflex de la peur. Le projectil passa près de le heurter mais lui passa par dessus.

La pousser était grande puisse que l'imprimante avait attend l'autre coter du corridor, lui confirma ces propres yeux. À peine relevé qu'ike perdit contact avec le planché, mais il n'était pas le seul. Les meubles et autres objets banal l'accompagnait. C'était à n'y rien comprendre.

< Voila un défi de plus. Sans contact au sol je perd mon radar interne.> pensa-t-il

Autre problème qu'il réalisa. À moins d'obtenir un point d'appuie, Ike allait être coincé sur place, dans le vide. N,arrivant pas à atteindre les murs ou à se pousser grace à un autre meuble, une dernière option lui vient en tête.

Ike braqua son arme à feu en direction opposé au mur et tira une balle de son Berreta. L'énergie du coup le poussa vers le mur durement, mais de la Ike allait pouvoir ce pousserde mur en mur pour progresser.

Alors qu'il allait voir de où était projeté l'imprimante, un autre individu entra dans son corridor. Mais Ike avait de quoi être jalous, l'autre se déplaçait sans point d'appuie. N'étant pas habilé comme les employé des lieux, Ike s'arrêta sur un mur dès qu'il eu l'occasion et s'y agenouilla en mettant Kevin en joue de son Berreta.

< Halt!>

Julien soupira mais n'ajouta rien. Il comprenait le désaroi de ce jeune homme. Il avait été catapulté dans une véritable histoire de complot et d'espionnage malgré lui. Bien sûr, il allait falloir tout lui expliquer en détail, s'assurer que le publiciste ne soit pas dans d'autres implications dangereuses, mais Julien avait pour l'instant un autre chat à fouetter. Et selon les secousses qu'on ressentait, c'en était un gros.

-Alors vous avez une chance de vous rattraper, mon cher! dit le directeur en lui plaquant le taser-gun sur la poitrine pour lui donner. Prenez ça et suivez-moi. Nous avons une compagnie à défendre.

Puis, sans attendre sa réponse, Julien s'élança dans les corridors.

Julien Marshall m'assura que nous mettrions tout cela au clair dès que possible. Cela me rassurait, cela voulait dire que je n'étais peut-être pas manipulé. En tout cas, pas par l'organisation par laquelle j'étais employé. Une bonne chose de faite, je n'avais rien à craindre.
Mais malheureusement, je ne pourrais certainement par rentrer chez moi dès maintenant. Pas sans risque en tout cas. La secousse qui était remontée jusqu'à nous avait l'air de mettre Julien Marshall mal à l'aise. Est-ce qu'il fallait être sur ses gardes.
Apparemment, c'est ce que pensait mon patron puisqu'il me mit un pistolet contre la poitrine pour que je le prenne. C'était un taser pour tout dire. Je ne m'en étais jamais servit. Les dents de l'appareil projetèrent quelques limbes d'éléctricité lorsque j'actionnai le bouton. Cela devait faire mal. Mes boucliers me protègeraient pendant que j'enfoncerais les dents éléctrique dans toutes les parties du corps du ou des individus qui attaquaient la société Orgétik.

Pris d'un élan de courage, je courus à la suite de Julien Marshall. Nous descendîmes en toute hâte plusieurs escalier. Il n'y avait rien qui montré qu'une attaque était en cours. Le silence de la nuit, coupé seulement par la respiration haletante de Julien Marshall et moi même, était presque oppressant.
J'empruntai la même porte par laquelle j'avais vu Julien Marshall s'élever dans les airs, était-ce son pouvoir ? Mais à peine l'avais-je fait que je me retrouvai projeté dans les airs, comme si on m'avait poussé vers le haut. Sauf que je n'heurtai ni le mur ni le plafond qui pourtant était à quelques centimètres de moi. Je flottais dans les airs.
C'était une sensation très agréable. On avait l'impression de se sentir libre. Mais je savais que ce n'était pas le cas. C'était surement le pouvoir de quelqu'un. Mais qui pourrait être aussi puissant pour réussir à annuler la gravité dans tout un étage d'un bâtiment aussi grand ?

Je vis alors deux hommes, au loin. L'un d'eux visait l'autre avec ce qui semblait être un révolver. Mais j'étais trop loin pour être sûr. Julien Marshall qui flottait à quelques mètres de moi visait aussi l'homme...

J'entendis un gros : "Halt" qui me fit sursauter. Les employés de ce bâtiment ne savait pas dire "bonjour !" avant de viser quelqu'un ?
L'homme que j'avais face à moi, enfin... presque face à moi étant donné qu'il avait réussi à se stabiliser sur un mur tandis que moi j'avais la tête en bas, les pieds parfaitement collé au plafond.

Nous étions à un intersection. Lui à quelques mètres de moi.
-Tu sais pas où je peux détruire le plus de chose ici ? demandai-je à tout hasard.
Pour seule réponse, je n'eus qu'une balle qui passa à quelques centimètres de moi. C'était surement voulu. Une sorte de mise en garde qui voulait dire un truc dans le genre : "rigoles pas avec moi !".

Mais le hic, c'était que moi j'avais envie de rire. Et malheureusement pour cette pauvre poule sur un mur, picoti picota... enfin c'était une chanson dans ce genre là. Bref, tout ça pour dire que malheureusement pour ce pauvre homme, la gravité était entièrement sur mon contrôle. Personne ne pouvait y échapper.

Je fis un demi-tour sur moi même de telle sorte à avoir les pieds vers le sol avant d'annuler mon pouvoir. Mon ennemi, si je pouvais l'appeler comme ça tellement il me semblait pitoyable, tomba alors sur le côté, se faisant surement assez mal à l'épaule. Mais je n'en restai pas là. J'attirai tous les objets, mon adversaire y compris, au milieu de l'intersection de tel sorte à former une boule d'objet hétérogène compact. Il y avait l'imprimante que j'avais projeté tout à l'heure mais également des grosses plantes vertes remplit de terre et quelques chaises. L'homme se trouvait au milieu. Et il allait gouter à une technique que j'avais imaginé dans la soirée lorsque j'avais fait le chemin jusque ici.
Tout en maintenant les forces attractives que je contrôlais déjà, je gravitais mon corps de telle sorte que je retenais une gravité inversé en moi. Je me mis à courir. Plus je courais et plus j'emmagasinais de la gravité.
Je sautai alors vers mon adversaire pris entre tous les objets et frappai du poing au sol en relachant la gravité que j'avais accumulé. Le résultat fut semblable à une onde de choc. Les murs furent détruis et expulsés. Mon adversaire ainsi que tous les objets qui le retenaient furent éparpillé entre les couloirs. Le plafond commença à se fissurer. La destruction était en marche.

Mais alors qu'un sourire me vint devant mon oeuvre, j'entendis de puissant coup de feu provenir d'un endroit que je n'arrivais pas à identifier. Ce ne fut que lorsque je sentis une balle m'entailler l'avant bras droit que je vis Julien Marshall qui me tirait dessus.
D'un geste, j'envoyai toutes les balles qui se dirigeaient vers moi dans le plafond, de même que Julien Marshall et le garçon qui se trouvait à côté de lui. Il y était collé.
-Mr.Marshall. Vous n'êtes pas mort ? J'aurais dû vous tuer lorsque je vous avez sous la main. Mais bon, ce n'est qu'une question de temps maintenant.
Je commençais alors à lever la main pour rendre la gravité tellement legère que Julien et le garçon seraient écrasé contre le mur.

[HJ] Ike, je t'ai laissé de la terre, pour ton pouvoir ^^ On va dire qu'avec l'onde de choc que mon pouvoir à provoqué, les pots de sont brisé et il y en a un peu partout. ^^ [HJ]

Hj( c'est une belle attention merci dude)

Ike n'avait rien demandé à Kevin qu'il se mit dos a lui. Sans crier gare, Ike perdit le semblant de prise qu'il avait au mur. La chute fut courte donc pas le temps de tombé confortablement sur le dos. Un coup n'attendait pas l'autre, Ike fut aspiré au bon millieu d'une sphère de vente de garage. Ne contrôlant pas son nouveau pouvoir, la peau de Ike se tranforma seule en pierre du au stress de la situation avant d'être projeté avec les objets aux 4 coins de l'interception. Cela fut assez pour en perdre son arme à feu.

Le sens du touché mjaintenant absent, Ike ne résenti rien de l'atterisage. Cependant, cela ne fut pas des plus discret vue son poid présentement. Ike du écarté la porte et la chaise qui lui avaient atteri dessus pour se relever. Comme il n'y avait plus de mur, Ike avait une bonne visibilité sur sur Kevin. Il ne fallait pas être génie pour jugé qui jouait ainsi avec la gravité.

Ike se releva et couru vers Kevin. Chaque pas de course résonnait sur le sol de façon lourde et sourde. Courire lui était difficile même si Ike ne sentait pas la douleur, étant en pierre, mais l'impact allait être plus difficile pour Kevin lorsqu'il l'aura plaqué.

La gravité devenait de plus en plus écrasante au fur et à mesure que les secondes passaient. Julien Marshall et ce garçon n'en auraient surement plus pour longtemps. Tous leurs organes devaient déjà être en train d'être écrasé. Leurs poumons ne pourraient bientôt plus lutter contre l'imposante gravité inversé, et ils succomberaient alors d'une manière atroce. En manquant d'air...
Mon cerveau était si concentré que tous les sons alentours s'étaient estompé. C'est comme si j'étais devenu sourd. Je n'entendais plus rien. Et ma vision était concentré uniquement sur la zone d'effet de mon pouvoir. Tout n'était que du flou autour. C'était surement un effet secondaire du l'utilisation trop poussé de mon pouvoir. Mais je n'avais plus rien à craindre. Le principal protagoniste était devant moi, en train de mourir.

Enfin... c'est ce que je croyais. Car exalté par le meurtre du directeur d'Orgétik, j'avais totalement oublié celui que j'avais combattu quelques secondes plus tôt. Mon ennemi, en plus de n'avoir eu aucune blessure, se dirigeait vers moi à pas rageur. Il faisait encore plus de bruit qu'un troupeau d'éléphant. Mais je n'entendais rien, mon cerveau étant concentré sur les deux autres hommes.
Je ne pus alors que ressentir toute la douleur que me provoqua le choc et le plaquage de la statue de pierre qu'était devenu mon ennemi. Mes poumons se vidèrent et j'eus beaucoup de mal à refaire entrer de l'air. Mon pouvoir s'était annulé. Les deux autres étaient alors sûrement sauvé. Et je ne pouvais pas en dire autant de moi. Car non seulement la statue pesait de tout son poids sur moi, mais apparemment il n'avait pas l'attention de bouger.
Je sentais mes poumons avoir de plus en plus de mal à se remplir d'air. Mais je ne pouvais pas mourir ! Pas maintenant, pas comme ça.

Rassemblant la dernière parcelle d'énergie qu'il me restait, je glissais ma main libre dans la poche de mon pantalon et pris une petite boite que j'ouvris avant de répandre son contenue sur la moquette. Une pillule tomba... mais roula plus loin. Je ne pouvais plus l'attraper. Il me la fallait. Cela augmenterait mon pouvoir de façon considérable et je pourrais me tirer de cette situation.

Mes poumons sont vides, les dernières goutte d'oxygène se dilue déjà dans mon sang.

Une autre pillule tombe, et se stabilise. Je la saisis et l'enfourne dans ma bouche. Elle fond immédiatement et je l'avale. Je sens alors une telle poussé de puissance que je me sens invincible. Ces pillules que Keys Institut m'avait demandé de vendre était dans cette boite depuis quelques jours, elles attendaient le bon moment pour libérer toute leur puissance. Et c'était CE moment.
Je pouvais tout faire.

Je gravitais alors tout mon corps. Je devins un répulsif si puissant que mon adversaire se retrouva à nouveau projeté à plusieurs mètres. Mais ce ne fut pas le seul. Les murs, les objets et même le plafond se retrouvèrent éjécté. Je lévitai à plusieurs centimètres du sol qui se retrouva lui aussi jeté vers le bas. Tout ce qui se trouvait autour de moi sur un rayon de cinq mètres se retrouva écarté.
Des débris furent envoyé vers Julien Marshall et le garçon qui d'un geste du bras fit apparaitre un bouclier violet. C'était donc ça son pouvoir ? Mais peu importe. Le mien était plus puissant. Et j'allais enfin détruire Orgétik !

[HJ] Si mon pouvoir avec les pillules est un peu trop puissant, dîte le moi hein ? ^^ Mais c'est pour me permettre de faire apparaitre ensuite un grand trou noir. [HJ]

Attention de ne pas trop contrôler les personnages des autres Kevin!!! Même si c'est ton dernier topic, tu ne peux pas prédire ce qu'ils désiraient faire! Merci!

Oui, mais Aaron est mon double compte ^^

Le garçon c'est Aaron ^^

Kevin a écrit:

Nous étions à un intersection. Lui à quelques mètres de moi.
-Tu sais pas où je peux détruire le plus de chose ici ? demandai-je à tout hasard.
Pour seule réponse, je n'eus qu'une balle qui passa à quelques centimètres de moi. C'était surement voulu. Une sorte de mise en garde qui voulait dire un truc dans le genre : "rigoles pas avec moi !".

hj( c'est plus de c'est chose la don il veut parlé. contrairement a ce que tu pôurrais penser, cela ne m'a pas dérangé. je veux seulement apporté un exemple de ce que derrown veux te dire.)

Ah OK, je suis vraiment désolé, je n'avais même pas remarqué

(Le Hj de Derrown : Ike a très bien compris ce que je voulais dire! Mais puisque ça n'a pas trop semblé déranger tes compagnons, fait simplement attention pour les prochains postes. On te pardonne ^^)

(HJ : Correcte! On te pardonne! )

Julien avait cherché à atteindre le noyau des conflits le plus rapidement possible pour pouvoir intervenir. Mais jamais il n'aurait pu croire qu'il y arriverait aussi vite! De plus, une rage intense monta en lui lorsqu'il reconnu l'attaquant : c'était cet adolescent qui était venu le voir dans son bureau en début de semaine! Cette attaque, c'était donc bien un coup de Keys Institutes. Sachant très bien de quoi il était capable, Julien leva donc son arme pour tirer. La première fit mouche, mais les autres furent repoussées habilement par Kevin. Celui-ci avait sans aucun doute appris à mieux maîtriser son pouvoir, car d'un tour du poignet, Julien et Aaron se retrouvèrent au plafond.

-Mr.Marshall. Vous n'êtes pas mort ? J'aurais dû vous tuer lorsque je vous avez sous la main. Mais bon, ce n'est qu'une question de temps maintenant...

Soudain, une force gravitationnelle oppressa la poitrine de Julien. Il se faisait écraser par le pouvoir de cet adolescent sans pouvoir réagir! Fermant les yeux et serrant les dents, le directeur tenta de résister et d'utiliser les techniques qu'on lui avait enseigné pour retenir sa respiration plus longtemps. Tout à coup, il fut relâché. Avec surprise, l'homme d'affaire se réceptionna au sol et roula avant de reprendre son souffle. Du coin de l'oeil, il voyait que Ike avait porté l'assaut contre Kevin. Profitant donc du moment, Julien sortit son cellulaire et appela des renforts.

Cependant, l'ennemi d'Orgétik préparait un mauvais tour : des débris revolèrent dans toutes les directions. Par chance, Aaron activa son pouvoir pour les protéger, M. Marshall et lui. Lorsque la poussière fut retombé, le directeur constata que Kevin devenait incontrôlable. Il fallait vite l'arrêter! C'est alors que de nouveaux agents d'Orgétik firent leur apparition. L'un d'eux envoya une décharge d'énergie vers Kevin pendant qu'un autre se métamorphosait en tigre. Les autres prirent l'adolescent en joue avec leurs armes. La cavalerie venait d'arriver...

Ike passa au traver de l'un des rares mur encore debout avant que celui ci explose a son tour. Enterré sous les débrit du même mur, le temps qu'il se dégage, d'autre agents sorti de nul part et commença à encercler Kevin. De ce qu'il observait, la situation semblait entre bonne mains. INtervenir maintenant pourrais nuire les autres agents.

Il se contenta de se dégager completement et de se relever. Cependant, un geste devait être posé pour le bien de l'entreprise. Il se rua vers Marshal et arracha poliment, c'est a dire légèrement rude, l'arme a feu de son patron. Aillant perdu la sienne, il allait en avaoir de besoin.

< Messieur Marshal! Si vous permettez, ce n'ai pas un endroit pour vous! Il serait préférable que vous nous laissez faire!>

Plein de chose se passait sans que je ne comprenne véritablement le but et surtout la raison de tout ceci. Cet homme, ou plutôt cet adolescent, pourquoi attaquait-il Orgétik ? Cette organisation n'avait rien fait de mal. Elle venait même de m'assurer un avenir sans avoir à caché mes pouvoirs. Il fallait que je la défende. Mais je ne savais pas quoi faire. J'étais dans les airs, je flottais et j'arrivais à peine à me mouvoir.

Enfin, c'était effectivement le cas jusqu'à ce que je sentisse la gravité se rétablir, tout mon corps fut de nouveau attiré vers le sol et ce ne fut qu'avec un bouclier que je pus éviter de me fracasser les dents sur le sol.
J'avais une vue parfaite sur l'adolescent qui faisait de nouveau appel à son pouvoir. Pendant que je me relevai, je le vis attirer devant lui tous les objets à sa disposition. Je faillis être attiré moi aussi, mais je ne ressentis qu'une légère pression que j'arrivai facilement à retenir.
Mais ce n'était pas tout, l'ennemi frappa du poing au sol et en moins d'une seconde, tous ce qui se trouvait autour de lui fut ejecté, comme repoussé par une force puissante.
Julien Marshall fit feu immédiatement. Une balle fit jaillir du sang de l'avant bras du garçon qui ne se laissa pas faire et dévia toutes les autres. Mais il ne se contenta pas que des balles car nous aussi nous fumes collé au plafond. J'avais de plus en plus de mal à respirer. Je n'étais pas fait pour ça. J'avais peur. J'entendis à peine ce que l'adolescent dit à Mr.Marshall. Je ne ressentais que la pression qu'exerçait sur moi le pouvoir de cet adolescent.

Puis tout s'arreta. Je tombai à terre au moment même où j'entendis un "boum" retentissant. Je vis un autre homme, surement quelqu'un qui était de notre côté, tout en pierre en train d'écraser notre ennemi commun. Il allait le tuer, ou alors au moins le blesser et nous aurions surement la vie sauve. Enfin, je l'espérai.

Mais cela ne se passa pas comme ça. Tout vola dans tous les sens ! Les murs, le plafond, le sol... Tous fut ejecté à plusieurs mètres de l'adolescent qui flottait dans les airs. Il avait une maitrise impressionnante de son pouvoir. C'est comme s'il avait été élevé au rang d'expert en quelques secondes.
Je fis apparaitre un bouclier entre les débris et moi, ainsi que Julien Marshall, pour nous protéger. Et sans que je ne le vûmes arriver, des dizaines d'agents sortirent de nul part et visèrent de son pistolet l'adolescent.
Même si je pouvais quitter cet endroit discretement, je ne le voulais pas, j'étais comme hypnotisé par cette scène que je pensais ne voir que dans les films...

J'étais puissant ! J'étais incroyablement puissant ! Là, je pouvais envoyer l'immeuble d'orgétik dans l'espace ! Là, je pouvais le faire et détruire à tout jamais cette compagnie. J'en avais le pouvoir ! Mais il fallait que je me concentre, et je ne le pouvais pas avec tous ces agents autour de moi.
J'étais leur centre d'attention.

Moi, au milieu de l'étage en ruine. Celui du haut et celui du bas étant visible grâce au trou que j'avais fait lorsque j'avais utilisé mon pouvoir. Un moniteur d'ordinateur pendant d'un cable, surement la seule chose qui l'empêchait de tomber six mètres plus bas et de se fracasser. Malheureusement pour lui, je suis là !
D'un geste de doigt, l'ordinateur fut projeté dans le ventre d'un agent à une telle vitesse que ce fut presque comme s'il se prenait une voiture à cent kilomètres à l'heure.
Une lueur presque démence enveloppait mes yeux et mon sourire sadique. Durant une bonne minute, je m'amusai à appliquer des forces attractives, un jeu d'enfant maintenant grâce au pillule, sur des agents qui se retrouvé alors attiré les uns vers les autres au dessus de trou et qui tombait dans l'étage du bas.
Les quelques projectiles qui étaient jeté vers moi était soit détourné vers le haut soit renvoyé vers leur propriétaire.

Mais au bout d'une minute, ce jeu m'ennuya. Je m'élevai alors dans les airs, et produit une autre onde gravitationnelle qui détruisit le plafond de l'étage du haut. Il y en avait encore un autre. Je fis de même pour tous les plafonds que je vis jusqu'à ce que la lune soit visible. Cette demi-lune qui m'apaisait. Elle était là haut, dans le ciel !
Et moi j'étais ici, mais je manquai de place. La lune au moins avait tout l'espace à contempler. Moi, je n'avais que ça ! Que ces misérables bureaux. Ces petites choses sans intêret. Il me fallait de la place.

Je revint là où j'avais abandonné mes ennemis quelques minutes plus tôt et d'une autre onde gravitationnelle, augmenta les dégats que j'avais déjà produit.
J'avais à présent assez de place. Je n'avais plus qu'à le faire apparaitre !

Je concentrai toute mon énergie au milieu de la pièce. Une énergie gravitationnelle émana de moi. Elle était emplit d'une telle puissance que j'étais sûr que tout être vivant avait dû la ressentir. Mais ils n'eurent surement pas le temps de le faire, car avant même que l'information ne parvienne à leur oreille, un trou noir, le plus grand que je n'avais jamais produit, même si je n'en avais produit que deux jusque ici, se matérialisa à quelques mètres de moi.
Il devait faire au moins cinq mètres sur cinq et, contrairement aux autres fois, bien que j'étais à deux ou trois mètres de lui, je ne me sentais pas aspiré par sa force gravitationnelle. Ce qui n'était pas le cas de tous ce qui n'était pas accroché autour de moi.
Ce fut d'abord les objets qui disparurent dans ce vortex, et les humains n'allaient surement pas tarder à les suivre. Mais je ne pouvais rien faire en attendant, toute mon énergie étant concentré pour maintenir ce monstre aspirateur ouvert, je ne pouvais plus utiliser mon pouvoir sur la gravité. Decidèment, ces pillules avaient une limite finalement. Mais ce n'étais pas grave, tôt ou tard... tout le monde serait dedans !!!

[HJ] Mon personnage devient un peu fou, vous inquiétez pas hein ? ^^ Comment ça vous vous en foutez ? ^^
Et pour le vortex de cinq mètres, je sais que tu m'avais dit un mètre sur un, mais comme mon personnage a avalé les pillules. Mais quand même pour ne pas faire de grosbill, j'ai annulé la possibilité pour mon personnage de contrôler la gravité tant que son trou noir est ouvert. [HJ]

C'était une réelle catastrophe. Kevin déjouait les agents beaucoups trop facilement. Ceux-ci comprirent rapidement que personne n'allait pouvoir l'atteindre avec des balles, car celles-ci menaçaient de se retourner contre eux. Puis, quand l'adolescent se mit à les projeter un peu partout, dont dans le trou énorme dans le sol, les agents capables de se téléporter se dépêchèrent à emmener les autres ailleurs pour en sauver le plus possible. C'était un combat perdu d'avance...

Julien Marshall regardait cela avec consternation. Il voyait presque sa compagnie s'effondrer sous ses yeux. Serrant les dents, il cherchait désespérément une solution. Tout à coup, Ike Gawai réussi à le rejoindre et lui enleva son arme de ses mains.

-Messieur Marshal! Si vous permettez, ce n'est pas un endroit pour vous! Il serait préférable que vous nous laissiez faire!
-JAMAIS! C'est ma compagnie! Si elle tombe, je tombe avec elle!

Soudain, un déflagration déchira l'air. Se tournant vers Kevin, le directeur vit alors qu'un trou noir venait d'apparaître et qu'il prenait rapidement de l'expension forçant tout le monde à reculer. Julien fit de même sans quitter le vortex des yeux. C'est alors qu'il accrocha Aaron. Dès qu'il le vit, Julien eut une idée. Il saisit le publiciste par les épaules et lui dit :

-Monsieur Areri! Vous devez agir maintenant! Créer un bouclier autour de ce trou noir ainsi que de l'agresseur! C'est notre seul chance!

Puis, pour permettre à Aaron de tenir le coup, Julien se pencha et saisit l'épipenne d'un de ses agents tombés au combat. Il défit le bouchon et frappa Aaron avec pour lui injecter l'adrénaline. Grâce à cela, le pouvoir du jeune homme allait prendre presqu'autant d'expension que celui de Kevin. Restait plus qu'à espérer qu'Aaron réagisse assez vite...

Ensuite, il laissa le champ libre à Aaron. C'était maintenant à lui de jouer...

Tout cela devenait dément. Avec le temps, des objects de plus en plus loin ce fesait aspirer par le trou noir. L'horizon du trou noir grandisait. Il était dommage que julioen ne suive pas ces couseil avisé par orgueil. Mais il n'avait pas le temps d'en débatre avec lui.

Tirer de son arme à feu serais inutile. La balle serait surement aspiré par le trou noir. Toute fois il n'était pas a cours d'idée. Ike laissa julien essayer sa méthode
le temps que Ike se mette en place. Mais si elle ne marcherais pas, Ike lui avait un plan B. Il commença à s'éloigné en restant loin de l'horizon du trou noir.