Le 2ième round (Ike, Mickael, Angelique, Alexandra)-TERMINÉ-

Après un tour à l'infirmerie pour son épaule, Ike fut placé en cellule en attendant qu'Angélique n'arrive a son tour. Les policier avaient décidé de l'intérogé en premier.

À son entré, il se dit qu'au besoin il ne serai pas difficile de partir de partir vue la constitution des murs de sa cage. Mais cela devrait bien aller. Sauf peut-être pour ce que les patron vont penser de cette histoire. Mais au moins il avait une avancer génétique potentiel . Une avancer qui pourrait lui sauver la vie et celle de d'autre en même temps ou après lui.

Juste pour pouvoir sauver sa propre vie... il n'a aucun regret... sauf peut-être la perte du gamin innocent.

Angelique entra dans la cellule où Ike était en silence. Elle s'arrêta à peine à quelque mètre de la grille qui se referma dans son dos. Un « BUZZZ » électronique lui laissa savoir que la grille s'était verrouillée. Angellique sourit. Elle marcha, lentement, et s'assis dans son coin, sur le plancher froid. Elle ramena ses jambes près d'elle, posa sa tête contre le mur, ferma ses yeux et mit son coude encore intact sur un genou, alors que l'autre, bandé et attelé, reposait dans le tissu autour de son cou.

Heureusement, Ike n'avait pas touché l'artère de sa cuisse. Les saignements n'étaient donc pas très graves. Elle ne lui adressa pas la parole. Au moins où Ike aurait quitté les lieux, elle en profiterait pour s'évader. Elle ouvrit les yeux et fixa le plafond.

Soudain la mémoire du meurtre de son père, sa nuit en prison, son évasion, lui revint en mémoire. Elle referma les yeux et accota sa tête sur ses genoux et son bras.

Les idiots, quel idée de mettre deux suspecté de meurtre et de tentative de meurtre dans la même cellule. Surtout si d'autre sont disponible. En plus... cela rend la situation inconfortable. Non pas à cause de la gène mais surtout qu'il faut faire attention aux geste qu'on pose car cela pourrais vite dégénérer. Alors aussi bien se taire.

Ike se sentait très faible depuis qu'il est entré dans la voiture. Il avait perdue beaucoup de sang dû à son épaule. Si elle allait se prendre un coin par terre, lui il allait s'éttendre sur l'un des lits du mur.

De toute façon, quelqu'un d'autre est la pour la surveiller. Ike lui n'a plus qu'a attendre un représentant d'Orgétik vien parler a la police.

Angelique releva la tête et le regard vide elle brisa la silence:

"J'espère que vous êtes fière de vous, agent Gawain... Vous avez fait emprisonné une fugitive." dit-elle, sa voix ne laissant paraitre aucune émotion.

Elle accota sa tête sur le mur et fixa le plafond.

Puis elle se tue. Que pouvait-elle rajouter? Elle pouvait le rendre mal à l'aise.

"J'ai tué mon père. J'ai tué mon père parce qu'il me violait." dit-elle.

Elle voulait le rendre mal à l'aise.

Cela ne prit que très peu de temps aux policiers pour contacter Orgétik et le grand patron d'Ike. Ce dernier, depuis peu remis en état par les "gentils" de Keys Institutes, terminait de contrôler la crise qui avait suivit son vol d'identité. Évidemment, le coupable avait été trouvé et tué sans aucune forme de procès. Le directeur de la compagnie avait donc pu reprendre les raines sans problème... ou presque! Parce que, quelques heures après, le Soleil avait décidé de faire des siennes. Que ce passait-il encore?

Julien avait donc convoqué une grande réunion et attendait les résultats de plusieurs tests lorsqu'on lui apprit la mésaventure de son agent de terrain géokinésiste. Bouillant de rage, il avait décidé d'intervenir de lui-même pour s'assurer d'éviter le plus de dommages collatéraux sur la couverture d'Orgétik.

Il se rendit donc au poste avec Gus comme garde du corps. Ce fut assez simple d'entrer, mais moins pour avoir l'autorisation de voir Ike dans sa cellule. Heureusement, Monsieur Marshall avait beaucoup d'influence et on lui accorda un vingt minute avec son agent.

Le directeur entra donc dans le couloir des cellules, Gus sur les talons. Il se posta devant la cellule d'Ike, un air grave sur le visage. Il évita de croiser le regard d'Angélique, car elle ne le concernait pas... pour le moment.

-Alors, Monsieur Gawain? demanda-t-il. Avez-vous au moins la possibilité de dire que cela en a valu la peine?

Ike tourna la tête hors de sa cellule. Il n'avait jamais vue ce type auparavant mais seule la compagnie Orgétik. Il devait donc en faire parti. Ike se releva du lit et s'avança, le bras immobilisé dans le platre. Durant son avancé, il pris la peine de s'arrêter devant Angélique.

< Je vous suggerre de vous taire cette fois.>

Il y a peu de chance qu'elle suive ce conseil mais on peut rêver... Bred, il se rendit devant Marshal

< Pour répondre à la question, pour moi cela a valu la peine. La peine de ce bras dans le platre et aussi d'avoir cotoyé la mort aujourd'hui. Je l'ai fait pour des raison de survie.

Mais je doute que cela vous intéresse.>

Fini-t-il sur un geste de main non-chalant

< Non ce qui risque Orgétik dans cette histoire> enchaina-t-il en le pointant du doigt< C'est une potenciel percer dans la science de la génétique... qui est d'ailleurs étroitement lié à ma survie.

Maintenant.> dit-il en baissant son seul bras disponible< Je peux savoir qui Orgétik a envoyé m'enguelé?>

Son oeil accidenté recommença à verser des larmes noirs en plus de le faire soufrire. Ike se frota l'oeil gauche et le dissimula un peu plus avec son capuchon.

< Désoler.>

Angelique fusilla Ike du regard.

"De me taire?" demanda-t-elle insulter.

Elle fut tenter de faire débarrer la porte et de lui demander de sortir mais elle n'en fit rien. Elle ne regarda pas l'homme à l'extérieur de la prison. Peu de gens, même dans la mafia, savait qu'elle possédait ce pouvoir.

"Si quelqu'un veut en engueuler Gawain," commença-t-elle en se levant et se dirigeant tant bien que mal jusqu'au lit." Faite-le à voix basses... moi je vais dormir un peu..." dit-elle en se couchant, s'assurant d'être dos à la porte. Elle fit mine de s'endormir mais en vérité, elle écoutait leur conversation. Elle pourrait peut-être apprendre un truc ou deux qui serait utile pour la faire monter en rang dans la mafia.

'Au moins l'agent à une chance de se faire sortir alors que moi...' pensa-t-elle.

Elle soupira et fixa le mur devant elle.

< Je peux savoir qui Orgétik a envoyé m'enguelé?> dit Ike.

À cette réplique, les yeux de Gus devinrent ronds comme des soucoupes. Il tourna légèrement la tête vers le directeur de la compagnie pour connaître sa réaction face à cette affront direct, mais celui-ci ne fit que tiquer de la lèvre supérieure. Après tout, les deux hommes ne s'étaient jamais rencontrés... L'homme d'importance n'avait donc aucune raison de le reprendre sévèrement ou même de l'engueuler, pour reprendre ses propres termes. Non. Au lieux de cela, Julien attendit patiemment qu'Angelique ne se couche sur le petit lit de cellule avant de faire un pas faire Ike.

-Julien Marshall, directeur et président officiel d'Orgétik. Votre patron en d'autres mots.

Ensuite, il sortit des mouchoirs de sa poche pour les offrir à son agent.

-Monsieur Gawain, je ne suis pas ici pour vous engueuler comme vous dîtes, même si je vois que j'aurais largement à faire.

Julien prit une pause pour jeter un coup d'oeil à la femme endormie. uis, il reporta son visage grave et toujours sérieux vers Ike.

-Bien entendu, nous ne nous trouvons pas présentement dans un lieux très adéquat pour faire un retour sur votre mission. Je vais donc m'organiser pour vous faire sortir d'ici dans les plus brefs délais. Par contre, vous devrez me dire ce que vous avez déjà raconter aux inspecteurs et... qui est votre compagne?

Ike comprenait maintenant la présence du gorille Gus. Tout comme un soldat devant un supérieur, Ike se rendit comme une barre devant Julien. Le visage maintenant sérieux et professionnel.

< J'aurais aimé une rencontre en de meilleur condition. Merci> Dit-il en acceptant volontier les mouchoirs de son supérieur.

Il s'éponga alors l'oeil gauche à l'aide de son bras droit.

< Je n'ai pas eu la chance d'être intérogé par un inspecteur. Mais si il s'informe auprès des officiers qui nous on arrêté, il apprendra que pour nous défendre, moi et un gamin, j'ai dû abbatre un homme appeller Sam. Peu après,>

Il s'simtérompit lui même pour regarder la femme.

< la belle aux bois dormant ici présente,>

Encore une fois, il se retourna pour revenir devant Marshal

< est sorti de sa cachette en renfort et a abatue le gamin qui me suivait. Mais il y a pire, elle sait que je suis... peu commun. Ma maladie c'est déchainé hors de mon contrôl j'imagine. Mais sauf elle, nul ne le sait.

Désolé d'avoir impliqué Orgétik dans l'affaire sir. Mais j'ai un cadeau pour vos chercheurs que je dois leurs donnés. Et le plus tôt sera le mieux. Surtout que je n'ai plus droit à ma médication ici.>

Julien hoha la tête aux explications d'Ike. Dans sa tête, il planifiait déjà les démarches qui allaient suivre. Faire sortir Ike de cette cellule ne risquait pas d'être trop difficile. Il allait devoir appeler l'équipe de nettoyage pour effacer toute trace de passage de l'agent dans la forêt et faire jouer ses ficelles d'infulences dans la police pour récupérer les dossiers relatifs à l'enquête qui venait d'ouvrir, mais tout cela était néccessaire. Orgétik travaillait dans l'ombre des gens normaux. Ils ne pouvaient se permettre d'apparaître au grand jour. En tout cas, pas pour l'instant...

-Très bien. J'ai pris bonne note de ces détails. Merci beaucoup Monsieur Gawain. Gus va aller récupérer vos affaires personnelles. Pendant ce temps, je m'occupe de votre cas.

Julien inclina légèrement la tête pour saluer son agent, puis quitta cet endroit. Il alla directement voir le chef de la police pour convoquer une réunion avec les enquêteurs chargés de l'histoire de la forêt. En les attendant, le directeur appela l'équipe de nettoyage et leur donna les coordonnées de la clairière où Ike avait été trouvé. Il envoya ensuite une équipe à la morgue pour identitifier les deux cadavres récemment admis. Finalement, il communica avec leur indicateur de la police pour le charger d'effacer toute trace de ce dossier dans les fichiers. C'était maintenant une affaire classée.

C'est alors que les deux enquêteurs arrivèrent. Ils saluèrent poliment Monsieur Marshall et ce dernier leur rendit leur salut. Puis, il sortit de sa poche un tube argenté. Il le brandit devant les yeux des enquêteurs et appuya sur un bouton. Une lumière vive les éblouis un instant. Julien en profita donc pour leur inculquer de nouvelles pensées :

-Rien ne s'est jamais passé... Vous n'avez jamais été appelé à mener l'enquête de la clairière... rien ne s'est jamais passé.

Finalement, l'homme rangea son effaceur de mémoire et sortit de la petite pièce. Un appel entra sur son téléphone. Les dossiers avait été effacés. Ike n'existait plus pour la police. Julien hocha la tête, satisfait. Il pouvait donc aller récupérer son agent.

-Monsieur Gawain, cette mésaventure est dernière nous à présent, dit-il en revenant devant la cellule. Cette histoire sordide a été transférée à nos agents de terrain qui étudieront le cas de ce Sam. Vous pouvez donc respirer : rien ne sera retenu contre vous. Gus...

Le dénommé Gus appuya sur un bouton situé sur le mur avant d'insérer une clé dans le trou de serrure. Un bruit électronique se fit entendre et la porte fut ouverte.

-Allons-y, Agent Gawain. Voici votre matériel, dit-il en lui désignant une table.
-Lorsque vous serez prêt, une voiture nous attend à l'extérieur, dit Julien Marshall en quittant les lieux.

Suite chez Orgétik.

(HJ : On a la permission de poster dans le RP de Kevin/Aaron en même temps de faire un RP dans mon bureau pour le rapport de mission et l'analyse de cette pierre bleue. Bien sûr, on est pas obligé de le faire si tu ne le juges pas néccessaire... ça risque d'être du blabla plus qu'autre chose...)

(HJ 2 : Gus restera devant la cellule pour guetter Angélique. Alors tu ne seras pas toute seule ma belle. L'agent sera contrôlé par ce compte-ci.)

(hj merci c'est gentil)

Angelique fit de son mieux pour ne pas avoir l'aire réveillée. Elle écoutait les hommes discutés.

 » Julien Marshall, directeur et président officiel d'Orgétik." avait-elle entendu l'homme en habit dire à Ike. « Et bien, je n'oublierai pas ce visage... C'est une information intéressante. Cela explique la présence du troisième homme qui parle peu. Son garde du corps. » Pensa-t-elle.

Elle sourit et continua d'écouter. « Ce que les hommes peuvent être imbéciles. » Pensa-t-elle. « Il semble vraiment me croire endormie... » Son sourire s'agrandit à la mention des actes qu'elle avait posée. Oui, elle en était fière. Elle soupira, maintenant l'illusion de dormir, et bougea un peu sans toutefois se tourner. Si Ike pouvait partir, elle pourrait se charger de trouver une façon de sortir de là.

Le dossier d'Ike ayant été détruit, elle se retrouvait comme seule accusée. Du moins, elle l'était pour la mort de son père, un acte qu'elle avait accompli il y a bien longtemps. Pour le reste, elle s'en sortirait surement sans problème. Il lui restait à sortir de la prison, mais avec ses blessures, la tâche serait un peu plus difficile. La Rose Noire avait confiance. Elle réussirait, elle avait déjà réussi. Elle était technopathe après tout.

hj( Je vais venir aux rapport de mission.)

Ike avait rendez-vous. La clé de sa guérisson est maintenant à porter. Ike sorti de sa cage et rammassa ces effets personnel ainsi que sa récentte acquisition. La pierre blue dans ces main, il la contempla un bon moment, sourire aux levres avant de la mettre dans une poche de son manteau.

Une seule chose le dérangait. Si le dossier est disparue aux yeux de la loi, rien ne sera retenue contre Ike mais... il en n'est de même pour la belle aux bois dormant.

< La savoir en liberté ne me rassure pas... toute fois.>

Une seconde fois, la sonnerie retenti. Indiquant que la grille se fermait. Le doigt sur le bouton, Ike laissant échaper un seul mot sans l'accompagner d'émotion.

< Oups.>

Il s'élongna de la cage. À peine plus loin, Ike cria de faible voix.

< Merci Gus.>

Dehors, Ike apperçue la voiture qui l'attendait. Au lieux de monté dedant, il alla du coté conducteur pour lui parlé.

< Vous pourriez me rendre service? Avec ce bras dans le platre, je ne peux conduire ma moto qui est a la fourrière. Prenez mes clés et amenez la chez Orgétik. Je vais me rendre là-bas avec votre voiture.>

Le chauffeur était hésitant mais il fini par céder à la demande.

Suite chez Orgétik

Angelique éclata de rire une fois qu'ike fut loin. Enfin seule... avec le colosse. Son rire, à la fois froid avait presqu'un ton diabolique, venait de briser un silence pesant et semblait rebondir sur les parois autour et s'amplifier. Elle roula sur le dos et, les yeux en fente fixé au plafond, elle fit courir sur ses lèvres un sourire cinique. Elle tourna lentement la tête en direction de la grille avant de posé son regard sur le colosse. ''J'ai envie de jouer...' pensa-t-elle alors.

"Gus, c'est bien cela?" demanda-t-elle sans s'attendre à recevoir une réponse. Elle adoucit les traits de son visage pour finalement avoir l'apparence d'une femme normale. En s'appuyant au mur, elle se redressa sur le lit, fit passer ses jambes au rebord du lit. Maintenant assise, elle regarda le colosse en détail, évaluant ses chances contre lui. 'Je suis mieux de ne pas avoir à me battre contre lui dans ma condition.' pensa-t-elle.

"Seriez-vous plus confortable d'attendre à l'intérieur avec moi?" demanda-t-elle en s'appuyant contre le mur. "Vous pourriez me surveillé plus facilement..." dit-elle.

Elle sourit et pencha la tête sur le côté en le regardant. Elle voulait lui faire peur.

Le rire glacial d'Angelique ne fit faire à Gus qu'un léger pas vers la grille. Il se demandait ce que cette femme pouvait bien avoir fait pour se retrouver dans cette cellule en compagnie de l'un de leur agent, mais aussi ce qui l'avait fait rire. Évidemment, il se doutait bien qu'elle avait fait semblant de dormir pour pouvoir les épier, surtout qu'elle connaissait son nom.

À la mention de celui-ci, le colosse eut un petit rire à son tour. Il savait pertinemment que la femme voulait seulement le provoquer.

"Seriez-vous plus confortable d'attendre à l'intérieur avec moi?" demanda-t-elle en s'appuyant contre le mur. "Vous pourriez me surveillé plus facilement..." dit-elle en souriant et en penchant la tête.

D'une autre femme, ce geste aurait pu être tout à fait charmant. Mais si elle était là-dedans, cela voulais dire qu'elle ne pouvait pas être charmante!

-Je suis désolé madame, mais j'ai ordre de rester ici. Bien sûr, à vous regarder, j'aurais eu beaucoup de plaisir à venir vous rejoindre, mais je suis également fidèle aux ordres que je reçois. Peut-être après, si tout se passe bien, répondit Gus avec un gloussement.

Angelique sourit à Gus.

"Et pourquoi pas maintenant? demanda-t-elle en arquant un sourcil.

Le buzz de la porte électrique se fit entendre quelque seconde avant qu'elle ne s'ouvre.

"Entrez-donc, mais... c'est à vous risque et périle.... Je suis.... dangereuse..." dit-elle avec un sourire en coin.

Elle lui fit signe de son index de venir près d'elle.

'Voyons voir s'il est plus intelligent qu'il en a l'air...' pensa-t-elle.

(dsl du petit poste je suis en fin de session donc j'ai pas beaucoup de temps...)

HJ: J'te pardonne

Gus eut un sursaut en entendant le mécanisme de verrouillage s'enclencher. D'un geste vif, il se tourna vers les commandes derrière lui, mais personne n'avait rien touché. La porte du couloir était même encore fermée. Son regard revint vers Angelique et son air narquois. C'était donc elle, d'une manière ou d'une autre, qui avait ouvert la porte. Cela amusa Gus. Cela signifiait que la femme commençait à se dévoiler un peu plus à lui...

-C'est amusant votre petit tour, dit-il en s'accotant contre les barreaux. J'ai bien hâte de pouvoir vous montrer de quoi je suis capable, moi aussi! Et, pour ça, je suis bien tenté de venir vous rejoindre, car j'adore les filles dangereuses, ça m'excite!

Avec un gloussement pervers, Gus se passa la langue sur ses dents. Il en oubliait presque sa mission tellement ses pulsions de mâle le tiraillait.

-Vous savez quoi... avant qu'on n'embarque dans quelque chose de plus érotique, ça serait peut-être bien que je vous présente un ami à moi, non? dit-il avec un ton étrange.

Soudainement, les plis de son costume semblèrent se mettre à bouger. Gus éclata de rire et ses yeux se mirent à briller d'un éclat malsain et très pervers.

Angelique lui servit un sourire charmeur.

Elle se leva lentement et, une main contre le mur, elle fit quelque pas en sa direction. Elle laissa une distance raisonnable entre lui et elle, assez pour le faire entrer et lui laissé le temps d'accomplir ce qu'elle avait à faire.

"Oh... mais je suis encore plus... dangereuse... que vous ne pouvez le croire..." dit-elle, ayant presque susurrer "dangereuse", alors qu'elle s'adossa au mur, son regard vers lui. "Vous ne connaitrez jamais quelqu'un de plus dangereuse que moi... je peux vous l'assurer..."

'Bien, il est tombé dans le plat, reste à l'attiré ici et ensuite...' pensa-t-elle.

Elle leva un sourcil dans sa direction et se retint de rire.

'On jurerait qu'il cache un furet dans son habit.' pensa-t-elle amusée.

"Et bien... tant qu'il n'est pas un danger pour moi... ou qu'il ne viendra pas dérangé... Je n'ai pas de problème..." dit-elle. "Je suis impatiente de vous avoir avec moi, alors faites vite..."

-Un danger? HAHAHAHAHAHA! Mais c'est le danger qui est excitant! s'écria Gus en commençant à déboutonner son habit.

C'était finit. L'agent venait d'atteindre ses limites. La mafieuse l'avait piégé et il ne se contrôlait plus. Au diable les recommandations d'Orgétik, au diable sa mission : son excitation était trop grande. Maintenant, il désirait s'amuser. (HJ: OH! Le pervers! )

Gus ouvrit la porte de la cellule et, d'un geste vif, arracha son habit. C'est à ce moment que l'ami de l'agent fit son apparition : enroulé autour de sa taille et de son torse, un boa constrictor se déplia vers Angélique et siffla vers elle. L'énorme serpent tomba vers le sol et se mit à glisser vers la mafieuse.

-Hhahaha! Il es-tu pas beau? Viggo se fera un plaisir de commencer les préléminaires... ricana Gus.

Ce dernier, sans son serpent enroulé autour de lui, s'avérait être maigrichon et très pâle, sauf pour plusieurs tatoos de serpents. Soudainement, ses yeux s'illuminèrent et il se mit à siffler à la façon d'un serpent. Viggo le regard un instant avant de siffler à son tour. Puis, il continua sa progression vers Angelique...

(hj: bon désolé mais mon poste ne sera pas très long parce que très franchement, je n'ai aucune inspiration.... Voici la seule chose qui me vient.)

Angelique haussa un sourcil devant ce spectacle. L'homme était bien moins beau qu'elle ne l'aurait cru et bien plus impulsif et stupide qu'il paraissait. Elle le regarda, feignant la timidité tout en laissant brillé la malice dans ses yeux.

"Tsk. Tsk. Tsk." le gronda-t-elle. "C'est vilain ça. Moi aussi j'ai quelque chose à vous montrer mais... il ne faut pas que vous regardiez tout de suite." dit-elle. "Allez plus au fond, près du lit... Et tournez vous. Votre ami aussi..." dit-elle. "Sinon je ne vous montrerai rien du tout..."

Elle se croisa les bras et attendit qu'il se retourne.

Mickaël, transformé sous les traits de Gabriel Daviss, sortit de la boutique, mains derrière la tête. Aussitôt, il se mit à évaluer des yeux le nombre d'adversaires et le danger qu'ils représentaient. Comme il l'avait imaginé, il n'y avait que quatre voitures de polices, soit cinq policiers postés en avant à l'attendre. Trois autres arrivèrent par en arrière quand ils virent que cela ne servait à rien de faire le grand tour. Dès qu'ils le virent, tous les policiers se mirent à lui crier dessus pour qu'il s'étende au sol. Le tueur avança encore quelques pas, très lentement, puis s'étendit sur le sol. Tel un rapace, un policier se jeta sur lui pour lui passer les menottes.

-Toi, t'es fait mon gars! dit-il, mais le psychopathe entendit le traussottement de peur dans sa voix, ce qui le fit rire.

Relevé sans grande douceur, il fut emmené en arrière d'une voiture de police. De là, il pu voir les deux snipers que Gabriel avait redoutés. Seulement deux... Pathétique! L'être évolué savait bien qu'il en aurait facilement venu à bout. Mais, pour l'instant, il devait rester docile pour permettre à Alexandra et Gabriel de s'échapper dans la plus grande discrétion. Ensuite, il allait pouvoir retourner les voir et les convaincre de se joindre à lui. C'était un bon plan... Mickaël s'assit donc confortablement dans l'automobile et resta silencieux tout le long du voyage.

Le trajet ne dura que quelques minutes, mais fut assez long pour inquiéter les deux agents assis en avant. Le copilote n'arrêtait pas de jeter des coups d'oeil à leur prisonnier et ce dernier restait impassible, un énorme sourire dans le visage. Cette attitude les rendait fous... Ce fut donc avec grand plaisir qu'ils débarquèrent Mickaël du véhicule et qu'ils emmenèrent le tueur vers les cellules. Malheureusement, une autre surprise les attendait.

Le premier policier ouvrit la porte magnétique menant aux cellules et poussa Mickaël vers l'avant. Puis, dès qu'il fut en dedans, il eut un hoquet de surprise.

-Quoi?! Mais... qu'est-ce que...?

Là, devant les trois nouveaux arrivants, un homme très maigre mais aussi très tatoué se tourna vivement vers eux en sifflant. Mickaël fut alors émerveillé par ses yeux aux pupilles verticales et cela ne lui prit pas grand temps avant de comprendre que cet homme contrôlait le boa ondulant dans la cellule.

-Partez d'ici! s'écria l'homme aux tatous. Par ordre d'Orgétik, je vous sommes de partir!

Les deux policiers ne réagirent pas, mais Mickaël tiqua. Orgétik? Il avait bien dit Orgétik?! Alors là, la partie venait de changer littéralement! D'un clignement d'yeux, il redevint lui-même, amplifiant la surprise et l'incompréhension des deux policiers qui le lâchèrent vivement en tirant leur arme.

-TOI! dit alors l'agent d'Orgétik.
-Oui, moi! Ça fait plaisir de voir un homme d'Orgétik! Moi qui croyait que ma journée serait plate...

Gus cracha au sol avant de se tourner vers son serpent. Il siffla un ordre et le boa fit un tour sur lui-même, délaissant la jeune femme dans la cellule pour se lancer vers Mickaël. Mais ce dernier était prêt : dès que le serpent se jeta sur lui, il activa l'un de ses pouvoir préféré et se liquifia instantannément. Le boa le traversa donc dans un grand splash et fut accueillit par les policiers qui tirèrent, pris de panique.

Pendant ce temps, le tueur redevenait humain.

-Alors? On a envit de jouer? dit-il, le regard carnassier.

Avec un cri de rage, Gus se jeta sur lui, mais Mickaël le renvoya contre les barreaux de la prison grâce à une force magnétique contraire.

-Regarde ce que je fais à ton joli toutou...

D'un mouvement de la main, il dévia la trajectoire des balles de fusils que les policiers tiraient sans trop viser et les envoya dans le crâne du serpent.

-NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!
-Oh que oui!
-Tu as tué Viggo! Sale monstre!
-Et alors? Tu veux le rejoindre?

Et sans attendre qu'il ne réponde, le tueur projeta contre l'agent une chaise de métal qui se trouvait dans le couloir, empalant l'agent d'Orgétik. C'était donc 2-0 pour Mickaël. Le tueur regarda le cadavre de l'agent s'effondrer au sol, satisfait. Ensuite, il porta son attention sur les deux policiers, pétrifiés de peurs. L'un d'eux avait été blessé et pleurait à chaude larmes tandis que l'autre cherchait à recharger son arme d'une main fébrile.

-Tu ne devrais pas jouer avec ce genre de jouet, dit le tueur en levant la main. Tu pourrais te blesser.

Le policier ne l'écouta pas et préféra tirer sur Mickaël. Mauvaise idée : ayant prévu le coup, le tueur dévia les projectiles contre les deux agents étendus sur le sol. Satisfait de lui, l'homme aux multiples pouvoirs se frotta les mains avant de tourner sa tête vers la femme.

-Désolé pour tout ce dérangement, ma chère! Une si jolie femme ne devrait pas avoir à assister à de tel spectacle! J'espère ne pas vous avoir trop importuné malgré tout, non?

hj( je vais laisser Angélique poster avant )

Angelique resta amusée devant le spectacle qui se produit devant ses yeux. Elle s'accota contre le mur, un sourire au coins des lèvres. Elle aimait déjà cet étrangé venu de nul part. Il semblait possédé plus d'un pouvoir.

-Désolé pour tout ce dérangement, ma chère! Une si jolie femme ne devrait pas avoir à assister à de tel spectacle! J'espère ne pas vous avoir trop importuné malgré tout, non?

Angelique éclata de rire, de plus en plus amusée. Une fois calmé, elle regarda l'homme et lui répondit:

"Au contraire, je suis ravie de ne pas avoir eu à me salir les mains du sang de l'agent." dit-elle. "Ou encore de ses policiers, bien que je n'aurais pas détesté cela."

Elle décroisa les bras tout en regardant l'homme avec interêt.

Ike avait eu un léger malaise durant le trajet jusqu'au poste de police. Surement dû à la maladie vue qu'il n'avait jamais eu le mal du transport auparavant. Au moins il ne conduisait pas.

A l'arrivé des 4 agents dans le stationement, à peine sorti de la voiture, deux véhicule de police arriva les sirène allumé. Ils était préssé puise que les policiers à l'intérieur de ceux-ci débarqua et couru à l'intérieur.

Au passage, Ike attrapa le bras d'un des policiers pour l'arrêter dans sa course.

< Qu'est ce qui ce passe?!>

Police< C'est une affaire de police monssieur, rentrez chez vous!>

On entendit par la suite des coups de feu. Dans l'urgence, le policier se libéra et couru rejoindre ces collègues de travail.

< C'est pas vrai...> pensa Ike.

A son tour, Ike se rua vers le poste de police avec ces collègues à lui. UNe fois à l'intérieur, ils suivirent un groupe d'agent de la paix qui courait. Comme par hasard, ils se dirigaient vers les cellules...

Devant l'entré des cellules, les policiers s'étaient organisés pour ambusqué les personnes à la sorti des cellules et il y avait un cadravre qui bloquait la porte des cellules entre-ouverte. Ike se fit abordé par un policier sur place qui lui ordonait de sorti des lieux. Nicola se sépara du groupe d'Ike et tendit une feuille plié à ce policier.

Nicola < Nous somme ici par affaire. Nous somme venue chercher un prisonnier.>

Le policier attrapa la feuille et commença à la lire pour finir par lui redonné.

Police < Du renfort ne sera pas de trop.>

Ike parti en éclaireur. D'un oeil, il regardait ce qui ce passait par le cadre de porte. À sa grande surprise, Mickaël discutait avec la rose noir.

< Si ils sont ensemble, cela explique bien des choses.> pensa Ike

(hj: j'attendais que Mickael poste, étant moi-même très peu inspirer en ce moment mais je n'ai rien d'autre a faire donc.)

Angelique sourit à l'étrangé avec une multitude de pouvoir. lorsqu'elle se tourna vers la porte, elle vit arriver Ike accompsgner de deux autres hommes. Elle sourit.

"Agent Gawai. Venu pour me sauver?" demanda-t-elle. "Est-ce qu'Orgetik cherche a m'interroger pour quelconque raison?"

Après tout, pour quel autre raison serait-il venu?

(HJ: Je m'excuse! J'ai été pris par de l'étude d'examen... :/ Mais là, j'suis de retour! )

La femme se tenait contre le mur et faisait résonner son rire partout dans la cellule. Ce son fut d'une incroyable légèreté aux oreilles de Mickaël. Cette femme, peut importe qui elle était, avait l'habitude des meurtres de ce genre, c'en était évident. Et ce rire laissait même présager un certain plaisir au sang. Que des éléments pour plaire au tueur, c'était certain! Alors, tout comme Angelique, Mickaël se mit à détailler son interlocutrice avec intérêt. Pas très grande, mais d'une beauté palpable, elle dégageait une force de caractère notable. De plus, sa silhouette laissait présager qu'elle devait s'entraîner régulièrement.

Tout à coup, Angelique aperçu derrière l'épaule du psychopathe un mouvement et elle lança :

-Agent Gawai. Venu pour me sauver? Est-ce qu'Orgetik cherche à m'interroger pour une quelconque raison?

Mickaël se retourna et vit ledit agent entrer dans le couloir des cellules. La femme avait donc également des démelés avec cette organisation perverse. De mieux en mieux! C'était maintenant au tour de Mickaël de rire.

-Ah! On se connait nous! Si je me souviens bien, j'ai pu faire l'agréable connaissance de deux jolis couteaux vous appartenant. Ils ont la dent dure, c'est le moins qu'on puisse dire! Mais quel bon vent nous emmènes, mon cher?